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dimanche 31 mars 2024

Tekken Tag Tournament


Tekken Tag Tournament
 
Pénétrez dans l'arène des matchs par équipes pour une expérience de combat optimal, formez des équipes et affrontez vos adversaires dans des combats au rythme effréné. Tekken Tag Tournament propose une trentaine de personnages que vous pouvez associer comme bon vous semble pour effectuer des combos dévastateurs. Tekken Tag Tournament est jouable à quatre via le multitap.
 

Tekken Tag Tournament
Éditeur : Namco
Développeur : Namco
Concepteur : Katsuhiro Harada
Date de sortie : 24 novembre 2000
Pays d’origine : Japon
Genre : Jeu de Combat
Mode de jeu : Solo, Multijoueur
Média : DVD
Contrôle : Manette
Plate-forme : PS2
 
Mon avis : 
Pour en finir avec la Playstation 2 car oui, avec cette fin du mois de mars, nous arrivons a la fin, également, de mes critiques consacrées a la seconde version de la légendaire console de chez Sony, j’ai souhaité vous parler d’un autre soft de combats, ce, après SoulCalibur 2 dont je vous ai proposer la critique précédemment, je veux, bien entendu, parler de Tekken Tag Tournament ! Bon, tout d’abord, il est plutôt coquasse que je vous parle de ce soft maintenant alors que, pour la petite histoire, celui-ci fut un des tous premiers jeux du genre à être sortis sur PS2, cependant, n’étant pas un grand fan du genre, j’ai souhaité vous parler des deux uniques jeux qui m’avaient marquer au même moment. Ceci étant dit, quid, donc, de ce Tekken Tag Tournament ? Bon, comme son titre l’indique, celui-ci fait parti de la longue saga des Tekken et fait donc suite, naturellement, au cultissime Tekken 3 dont je vous ai parlé le mois dernier. Ayant, à l’époque, fortement apprécié le troisième volet de Tekken, ce fut, avec un enthousiasme certain que j’attendais un nouvel épisode sur cette si prometteuse PS2. Le souci, c’est que, à la place d’avoir un véritable Tekken 4, nous avons eu droit à une espèce de Tekken 3 amélioré dont les deux véritables nouveautés étaient les suivantes : la quasi-intégralité des protagonistes des volets précédents et le fait de pouvoir jouer à quatre. Hum, bien trop peu, il faut le reconnaitre, pour un jeu dont le concept en lui-même est loin d’être enthousiasmant – après tout, difficile d’être vraiment original avec un soft de combat – et dont le seul gros point positif était le fait que, PS2 oblige, nous avions droit à des graphismes améliorés. Du coup, si Tekken Tag Tournament est un jeu plutôt sympathique, une fois que l’on a fait le tour de tous les protagonistes, il faut reconnaitre que tout cela a tendance à tourner en rond et qu’on finit par le lâcher rapidement, afin de passer a autre chose. Dommage pour la saga, dommage, surtout, quand on pense à Tekken 3 qui, lui, reste encore comme étant le maitre étalon de la série, ce, malgré le temps écoulé…
 

Points Positifs
 :
- Le plaisir, pour les vieux fans de Tekken, d’avoir droit à une suite où l’on peut retrouver la quasi-intégralité des protagonistes de la saga – et ceux-ci sont nombreux puisqu’au nombre de 30. Bref, de quoi passer de bons moments, bien bourrins !
- La grosse nouveauté de ce soft est le fait que l’on puisse jouer à quatre, ce qui était plutôt fun, il faut le reconnaitre.
PS2 oblige, nous avons droit à des graphismes de qualité – du moins, pour l’époque, cela va de soit.
- La saga Tekken s’est toujours démarquée de la concurrence par ses protagonistes variés et charismatiques et c’est un vrai plaisir de les retrouver ici.

Points Négatifs :
- Pas vraiment de nouveautés, il faut le reconnaitre et on a tout juste l’impression de jouer à une version améliorée de Tekken 3.
- Les protagonistes sont nombreux, certes, mais il faut rappeler qu’une bonne partie ne sont que des versions à peine différentes d’autres combattants.
- Cela reste un jeu de combat, avec les qualités et les défauts du genre et, justement, si l’on joue en solo, on risque très rapidement de s’ennuyer tellement  tout cela est fait pour que l’on prenne davantage de plaisir a deux ou a quatre…

Ma note : 7,5/10

SoulCalibur 2


SoulCalibur 2
 
Quatre ans après les événements de SoulCalibur, le grand massacre qui avait terrorisé l'Europe s'arrête d'une façon subite. Le chevalier à l'armure azur, Nightmare, et ses sbires ont réussi à collecter assez d'âmes, sous l'influence maléfique de Soul Edge, et étaient prêts à commencer la cérémonie à Ostreinsburg. À peine la cérémonie commencée, trois jeunes guerriers attaquent le royaume. Après un intense combat, Nightmare perd, mais l'âme maléfique à l'intérieur de Soul Edge envoie les trois jeunes guerriers dans un vortex. Alors que SoulCalibur, l'épée des esprits, devient une menace de plus en plus grande aux yeux de Soul Edge, cette dernière se met en tête de rassembler ses fragments manquants, éparpillés à travers le monde, afin de recouvrer sa pleine puissance et, ainsi, détruire SoulCalibur.
 

SoulCalibur 2
Éditeur : Namco
Développeur : Namco
Concepteur : Hiroaki Yotoriyama
Date de sortie : 27 mars 2003
Pays d’origine : Japon
Genre : Jeu de Combat
Mode de jeu : Solo, Multijoueur
Média : DVD
Contrôle : Manette
Plate-forme : PS2
 
Mon avis : 
Sur la première Playstation, parmi les innombrables jeux de combats disponibles, un seul, véritablement, avait sut briller de par son originalité indéniable même si, il faut le reconnaitre, cela était dut peut-être davantage a la forme qu’au fond. En effet, Soul Blade, puisque c’est de lui que je veux vous parler, avait sur marquer les esprits des amateurs du genre par le fait que, ici, nous n’avions pas affaire a des pratiquants en arts martiaux – sauf quelques uns mais ce n’est pas le principal – mais a de véritables guerriers et guerrières, issus de plusieurs pays. Ainsi, dans Soul Blade, entre le chevalier cuirasser européen, le pirate, le samouraï ou la ninja, pour ne citer que quelques exemples, l’amateur de joueur de combats avait de quoi faire et avait pris, indéniablement, bien du plaisir lors de ses affrontements qui sortaient de la norme, du coup, vous pouvez imaginez que j’avais grande hâte de retrouver un nouveau volet de la saga, ce, sur une console plus puissante… or, là, il fallut patienter quelques années puisque le premier volet de SoulCalibur – la saga avait changée de nom – n’avait vu le jour que sur la première X-Box. Un premier volet auquel je n’ai jamais joué mais peu importe puisque, assez rapidement, SoulCalibur 2 débarqua sur la PS2 et, ma foi, disons que celui-ci fut à la hauteur de mes espérances ! Graphismes nettement améliorés et superbes pour l’époque, nouveaux personnages, jouabilité toujours au top, bref, que dire de plus si ce n’est que, tandis que, a l’époque, la saga Tekken s’engluait dans un certain confort sans savoir se renouveler, SoulCalibur, lui, se démarquait nettement de son comparse et ravissait de nombreux joueurs de part le monde. Un superbe soft, donc, que ce SoulCalibur 2 et qui m’aura occupé bien des heures en son temps au point même que, depuis, je n’ai plus jamais retrouver les mêmes sensations sur un autre jeu du genre – d’un autre coté, je l’ai un peu mis de coté depuis longtemps et il serait peut-être temps de m’y remettre un jour !?
 

Points Positifs
 :
- Pour les vieux amateurs de Soul Blade sur la première Playstation, l’arrivée, par le biais de ce soft, sur PS2, est un pur régal : il faut dire que SoulCalibur 2 est tout simplement magnifique, graphiquement parlant – pour l’époque, bien entendu – et que l’arrivée de nombreux nouveaux protagonistes apporte une touche de nouveauté plutôt bienvenue.
- Le concept est toujours le même, bien entendu, mais force est de constater que c’est toujours un plaisir que de manier des personnages qui se battent a l’arme blanche et non avec leurs poings.
- Pour ce qui est du casting, il n’y a rien à redire, celui-ci reprend les anciennes têtes d’affiches de Soul Blade et l’arrivée des petits nouveaux est un plus indéniable – bien évidement, Ivy se démarque nettement du lot… on se demande pourquoi ?!
- Un des meilleurs si ce n’est le meilleur jeu de combat de la PS2. Je pense que cela veut tout dire…

Points Négatifs :
- Si vous avez connu le premier volet sur X-Box, il est possible que vous ne soyez pas aussi enthousiastes vis-à-vis de ce soft ? Après tout, l’effet de nouveauté sera nettement moins marqué, de même que l’amélioration graphique notable entre Soul Blade et ce SoulCalibur 2.
- Comme tout bon jeu de combat qui se respecte, SoulCalibur 2 possède les qualités et les défauts du genre et, s’il faut bien évidement apprécier le genre pour accrocher a ce soft, disons qu’il ne faut pas jouer en solo, sinon, au bout d’un moment, on en a rapidement fait le tour…

Ma note : 8/10

samedi 30 mars 2024

FIFA 07


FIFA 07
 
FIFA 07 est un jeu de football sur PS2 profitant de la célèbre licence FIFA. Entrainez-vous avec une IA améliorée et une ambiance de stade travaillée. Il est possible de contrôler la destinée de son club favori grâce aux ligues interactives qui suivent le calendrier réel de la saison. Il ne tient qu'à vous d'emmener votre équipe vers la gloire.
 

FIFA 07
Éditeur : EA Sports
Développeur : EA Canada
Concepteur : Joe Booth, Hugues Ricour, Kaz Makita
Date de sortie : 25 septembre 2006
Pays d’origine : Canada
Genre : Football
Mode de jeu : Solo, Multijoueur
Média : DVD
Contrôle : Manette
Plate-forme : PS2
 
Mon avis : 
Depuis les désormais lointaines années 90, ce qui ne nous rajeunit pas, FIFA nous revient au minimum une fois par an, et si, a mes yeux, la version 99 restera a jamais comme ma préféré, je dois reconnaitre que celle de 2007 – paru en 2006 mais ceci est une autre histoire – fut, pendant de longs mois, le jeu qui m’occupa le plus – il faut dire que, pendant quelques années, j’avais un peu mis les jeux de vidéo de coté en raison de quelques aléas de la vie et que je revint a mes vieux plaisirs, petit a petit, avec ce soft... Ainsi, et comme je l’ai déjà souligné sur ce blog à chaque fois que je vous ai parlé d’un soft de football, étant un dingue inconditionnel des Coupes d’Europe, ma première grande surprise fut la possibilité de créer mes propres compétitions avec 64 équipes – ce que l’on pouvait déjà faire dans Le Monde des Bleus 2003 – ce qui fut plutôt agréable : huit poules de huit, puis seizièmes, huitièmes etc. Il y avait de quoi faire, bien entendu.... Malheureusement, le problème, le très gros problème même, comme d’habitude avec cette franchise, c’était l’absence des représentants des clubs de l’est : quid des clubs russes, roumains, ukrainiens, serbes, bulgares, hongrois etc. ? Les Footix s’en moqueront, eux qui ne voient que par le Barca ou Manchester, mais pour ceux qui comme moi, aiment et respectent le football de l’est, ce fut une grosse déconvenue même si, bien évidement, ce ne fut pas non plus une surprise... Pour ce qui était de la jouabilité, quelle différence, que dis-je, quel gouffre avec les anciennes versions auquel j’étais habitué, le « syndrome FIFA » est bel et bien finis depuis longtemps et les rencontres ressemblent véritablement a des matchs de foot. Et puis, petite cerise sur le gâteau, la possibilité de marquer de loin, de très loin même pour des buts exceptionnels et inoubliables. Alors, d’un point de vue personnel, il m’aura fallut quatre tournois pour arriver a la victoire finale : un premier où je perd pour grande gueule, un autre où, niveau de difficulté plus élevé, je ne passe pas le premier tour, un troisième où je tombe en huitièmes face a la Fiorentina après un beau parcours, et enfin, la victoire tant attendue dans le quatrième (après des demi ultra serrées et légendaires contre la Juventus) où Manchester, l’équipe que je prend, était à deux doigts de passer à la trappe. Bref, vous l’avez compris, sans être parfait et avec le traditionnel souci de tous les FIFA, c’est-à-dire, l’absence d’une majorité de clubs européens majeurs, FIFA 07 fut un jeu qui me marqua durablement lors de sa sortie et qui me fit renouer avec la saga. Bien évidement, la suite, elle, fut moins enthousiasmante, mais bon, quelque part, chacun devrait savoir qu’avec ce genre de jeux, mieux faut faire de longues pauses avant de s’y replonger…
 

Points Positifs
 :
- Un FIFA assez bon, ni meilleur, ni pire que ses prédécesseurs ou ses successeurs immédiats. Il faut dire que rien ne ressemble davantage a un FIFA qu’un autre FIFA, mais bon, si vous êtes fans de football, la franchise est, bien évidement, incontournable !
- Même s’il y aurait beaucoup à redire, il y a tout de même un nombre conséquent de clubs et d’équipes nationales au rendez vous, de quoi ravir les amateurs de football moderne, c’est-à-dire, ceux qui ne jurent que par la Champions League, la Coupe du Monde et les championnats anglais et espagnols, principalement.
- Dans l’ensemble, tous les grands noms du football sont au rendez vous comme c’est le cas à chaque fois.
- Graphiquement, FIFA aura toujours été le plus beau jeu de football et ce volet ne déroge nullement à la règle.
- Un nombre conséquent de modes de jeux et la possibilité de faire nos propres tournois avec 64 équipes, ce qui est toujours sympathique.

Points Négatifs :
- Comme c’est le cas à chaque fois depuis tous les volets qui ont suivis FIFA 99, l’absence de quasiment tous les clubs d’Europe de l’Est sont un énorme défaut pour les véritables amateurs de football et les vieux amoureux des Coupes d’Europe. Il faut tout de même admettre que l’on se demande pourquoi on a droit à la quatrième division anglaise mais pas à des clubs hongrois, roumains, ukrainiens ou russes ?! Une honte selon moi…
- Les amateurs de simulation absolue préféreront, bien entendu, PES, même si, depuis quelques années, les choses ont bien changé…
- Il y a, tout de même, de quoi être dubitatif devant l’intérêt de certains modes de jeux.

Ma note : 7/10

Le Monde des Bleus 2003


Le Monde des Bleus 2003
 
Zidane, Trezeguet, Henry, Lizarazu, Barthez... ils se sont tous donné rendez-vous pour faire du Monde des Bleus 2003 une simulation de football d'exception. À commencer par des graphismes sidérants de réalisme. Pas de doute, jamais les stars du ballon rond n'avaient été représentées avant autant de fidélité. Un plus notable pour les supporters des Bleus qui auront, lors des ralentis, tout loisir d'admirer leurs joueurs préférés sous toutes les coutures. Sur le terrain, le constat s'avère lui aussi plus que convenable. Ainsi, même si l'orientation se situe à cheval entre une prise en main arcade et un feeling simulation, il reste aisé de déployer un jeu digne des plus grandes équipes. À ce chapitre, près de 650 équipes viendront s'affronter au cours d'une soixantaine de compétitions (Coupe de l'UEFA, Coupe du Monde, Intertoto, ligues européennes, etc.). L'idéal pour aiguiser vos crampons virtuels dans les plus grands stades du monde, du Stade de France, au Saitama Stadium. Complet et somptueusement réalisé, Le Monde des Bleus 2003 s'affirme comme une simulation de foot grand spectacle à laquelle les commentaires avisés de Thierry Roland et Jean-Michel Larqué viennent donner vie.
 

Le Monde des Bleus 2003
Éditeur : Sony Computer Entertainment
Développeur : SCE London Studio
Concepteur : Paul Knutzen, Chris Avellone
Date de sortie : 04 octobre 2002
Pays d’origine : Grande Bretagne
Genre : Football
Mode de jeu : Solo, Multijoueur
Média : DVD
Contrôle : Manette
Plate-forme : PS2
 
Mon avis : 
Depuis que ce blog existe et, donc, depuis que je vous propose des critiques de jeux vidéos, je n’avais eu l’occasion, pour le moment, de vous parler que d’une seule simulation de football, le légendaire – du moins, à mes yeux – FIFA 99, sans nul doute mon soft de foot préféré de tous les temps ! Ainsi, si j’aurai l’opportunité de vous parler à nouveau d’autres jeux de football, vous pouvez être sur qu’aucun d’entre eux ne tiendra la comparaison et que, accessoirement, j’aurais bien des griefs a leurs égards… sauf, finalement, pour ce qui est de ce volet de This is Football, plus connu, en France, sous le nom de Le Monde des Bleus 2003. Bon, je dois le reconnaitre, tant le titre que la jaquette de ce soft sont ridicules, pourtant, dans le cas présent, il faut savoir passer outre cette très mauvaise impression et se plonger dans le contenu, bien plus intéressant. En effet, si, graphiquement parlant, nous sommes loin de la qualité, pour l’époque, d’un FIFA – voir même d’un PES – force est de constater que le principal grief que j’éprouve pour la franchise de la firme Electronic Arts depuis longtemps est, ici, aux abonnés absents : en effet, si dans FIFA, les vieux amateurs de football peuvent regretter, années après années, l’absence des clubs de l’est et autres grands noms du ballon rond, dans Le Monde des Bleus, tous les grands clubs européens, du passé comme de l’époque, sont au rendez vous, ainsi, vous pouvez imaginer ma joie de pouvoir affronter des clubs légendaires comme le Dynamo de Kiev, le Steaua de Bucarest, l’Hajduk Split ou le Honved de Budapest, pour ne citer que quelques exemples. Bref, un pur régal pour les vieux amateurs des Coupes d’Europe que de retrouver tous ces clubs européens, le plus souvent oubliés chez FIFA – qui, bien entendu, préfère nous proposer la quatrième division anglaise… Bref, rien que pour cette raison, Le Monde des Bleus 2003 méritait le détour et si l’on ajoute la possibilité de se faire nos propres tournois avec 64 équipes, je vous laisse imaginez les heures et les heures que j’ai put passer, en son temps, avec ce soft ! Alors bien entendu, les habitués de FIFA ou de PES pesteront, probablement à raison, vis-à-vis des graphismes d’un autre age ou une jouabilité pas aussi réussie, mais bon, ici, c’est le cœur qui parle et, à mes yeux, c’est cela le plus important, alors, comme dirait l’autre, fuck FIFA et vive Le Monde des Bleus, le seul soft de foot qui, finalement, aura sut rendre hommage aux vrais grands clubs du vieux continent !
 

Points Positifs
 :
- Le jeu de foot le plus complet auquel j’ai eu l’occasion de jouer ! Il faut dire que, avec plus de 500 clubs au programme et, surtout, la présence de toutes les grandes équipes des pays de l’est qui, depuis vingt ans – ou presque – brillent par leur absence chez la concurrence, Le Monde des Bleus ne pouvait que ravir les vieux amateurs des Coupes d’Europe ancienne formule !
- Coupes d’Europe, championnats et coupes nationales, Coupes du Mondes et, bien entendu, possibilité de créer nos propres tournois avec 64 équipes au compteur ! Bref, de quoi se faire nos propres Coupes d’Europe et passer des heures et des heures de plaisir !
- Tous les grands joueurs de l’époque sont au rendez vous et, dans l’ensemble, les équipes proposées disposent de leurs effectifs au complet.
- Ceux qui préfèrent le coté arcade a la simulation seront nettement plus à l’aise avec Le Monde des Bleus qu’avec un PES ou un FIFA

Points Négatifs :
- Graphiquement, il ne faut pas se mentir : Le Monde des Bleus 2003 est à mille lieux d’un FIFA voir même d’un PES.
- Il en va de même pour la jouabilité qui, si elle ravira les amateurs d’arcade qui ne souhaitent pas se prendre la tête, déplaira fortement à ceux qui ne jurent que par la simulation.
- Le titre français, bien entendu, est ridicule au possible ! Certes, je conçois que les petits gars de chez Sony misaient tout, dans l’Hexagone, pour surfer sur la vague de succès de l’équipe de France, mais bon, de là à se coltiner un titre aussi pathétique…

Ma note : 7,5/10

vendredi 29 mars 2024

Matrix Revolutions


Matrix Revolutions
 
Les passagers du Nébuchadnézzar ont été recueillis par le Hammer après la destruction du premier par les Sentinelles. Néo est tombé dans une sorte de coma (il est en fait coincé dans un monde intermédiaire dont il sera libéré par Trinity) après avoir court-circuité quatre Sentinelles. La contre-attaque des autres hovercrafts a échoué à cause d'un EMP déclenché trop tôt qui a endommagé les vaisseaux et les équipages se sont fait massacrer par les Machines toujours en chemin pour Zion. Le seul survivant, dans le coma lui aussi, est Bane (contrôlé par Smith). Le Hammer est à la recherche du Logos, le vaisseau du capitaine Niobe. Néo va voir l'Oracle une dernière fois. Elle lui fait comprendre qu'il doit se rendre à la ville des Machines, le vrai emplacement de la Source et que Smith (qu'elle définit comme le double négatif de Néo) est la clé de la fin de la guerre. Après le départ de Néo, Smith et ses clones arrivent et l'Oracle le laisse l'absorber. Le Smith possédant l'Oracle devient capable de transgresser les lois de la Matrice (comme Néo) et« voit » sa victoire grâce aux pouvoirs de l'Oracle.
 

Matrix Revolutions
Réalisation : Larry et Andy Wachowski
Scénario : Larry et Andy Wachowski
Musique : Don Davis
Production : Warner Bros
Genre : Science-Fiction, Cyberpunk
Titre en vo : The Matrix Revolutions
Pays d'origine : Etats-Unis, Australie
Langue d'origine : anglais
Date de sortie : 27 octobre 2003
Durée : 129 mn

Casting :
Keanu Reeves : Néo
Carrie-Anne Moss : Trinity
Laurence Fishburne : Morpheus
Hugo Weaving : Agent Smith
Mary Alice : L'Oracle
Jada Pinkett Smith : Capitaine Niobe
Sing Ngai : Séraphin
Ian Bliss : Bane
Nona Gaye : Zee
Harold Perrineau Jr. : Link
Essie Davis : Maggie
Harry Lennix : Commandant Lock
Nathaniel Lees : Commandant Mifune
Lambert Wilson : Le Mérovingien
Monica Bellucci : Persephone
Anthony Zerbe : Conseiller Hamann
Helmut Bakaitis : L'Architecte
Bruce Spence : L'homme du train
Clayton Watson : Le Kid
 
Mon avis :
 Après Matrix qui, pour rappel, avait été un des films les plus marquants de la fin du vingtième siècle puis Matrix Reloaded qui s’était avéré être une suite plus qu’acceptable, c’est au tour du troisième volet, Matrix Revolutions d’avoir droit sa critique sur ce blog. Dernier film de la célèbre trilogie des frères Wachowski, celui-ci, en fait, fut tourner au même moment que Matrix Reloaded et la jonction entre les deux longs métrages se fait le plus naturellement du monde d’entrée de jeu, pourtant, là où on aurait put croire que nous allions avoir a faire a un long film de plus de quatre heures diviser en deux, ce Matrix Revolutions est bien différent de son prédécesseur, et ce, principalement pour la simple et bonne raison que la quasi-totalité de l’action se déroule dans la ville de Zion, assiégée par les machines, la Matrice, elle, étant quasiment absente, en dehors du début et de la fin avec le combat apocalyptique entre Néo et l’Agent Smith. Cependant, si l’on retrouve tous les éléments qui avaient fait la force de cette œuvre – univers, protagonistes – si l’on ne peut nier qu’une fois de plus, comme prévu, c’est toujours aussi spectaculaire et que, enfin, on en voit finalement le bout, c’est avec un certain regret, et ce revisionage me la confirmer, que je dois reconnaitre que ce dernier volet n’est pas a la hauteur de ses prédécesseur. Certes, la fin n’est pas mauvaise, loin de là, certes, dans le déroulement de l’intrigue générale, c’est ce que l’on était en droit d’attendre, hélas, et ce n’est pas un mince défaut, bien au contraire, Matrix Revolutions pèche par ses longueurs, ses extrêmes longueurs qui font que, au bout d’un moment, eh ben, je me suis surpris en plein combat entre humains et machines a m’ennuyer, ce qui est un comble. Alors oui, je sais, depuis quelques années, le cinéma a tendance à aller vers le toujours plus et, bien des films nous proposent des combats qui durent une demi-heure voir plus (repensez un peu a la trilogie du Seigneur des Anneaux de Peter Jackson), sauf que, le problème, c’est que ça ne marche pas toujours et que souvent, on n’attend qu’une chose, que celui-ci prenne fin. Car si cette attaque de Zion par les machines devait être le point d’orgue de ce film, eh ben, c’est raté, la faute, vous l’avez compris, a une durée excessive qui finit par gâcher l’ensemble… Mais le problème, c’est que ces longueurs, mises bout a bout – il y en a d’autres, c’est comme le vaisseau de Niobe et Morpheus qui met trois heures a arriver a Zion – font que l’on passe trop de temps sur des détails et que, au final, le principal est galvaudé : ainsi, lorsqu’arrive l’affrontement entre Néo et l’Agent Smith, je n’ai pas put m’empêcher de me dire : « oh non, encore un truc qui va durer des lustres ! » Pourtant, ce n’est pas vraiment le cas, mais vu que j’avais été saoulé par l’attaque de Zion qui avait duré des heures, je n’ai pas put l’apprécier a sa juste valeur… Dommage, oui, fort dommage car une œuvre comme Matrix méritait une autre fin, surtout que les bonnes idées ne manquaient pas et que tout était en place pour en faire un incontournable ; le problème, c’est comme souvent de nos jours, cette manie de vouloir étirer des films en longueur, même quand cela ne se justifie pas et, ici, c’était bel et bien le cas…
 

Points Positifs
 :
- Scénaristiquement parlant, il n’y a rien à redire : nous avons enfin les réponses à toutes nos questions (enfin, je pense), les agissements des divers protagonistes, leur destin, sont on ne peut plus acceptables et c’est fou ce que ce film regorge de bonnes idées.
- Pour ce qui est des bonnes idées, le passage dans la station de métro en est une qui m’a bien plut ; de même, la façon dont Néo vient a bout de l’Agent Smith est bien trouvée également. Et puis, le monde des machines avait l’air pas mal… hélas, on le voit à peine !
- Malgré tout, il reste une flopée de scènes marquantes dans ce troisième volet, et puis, le coté christique de Néo à la fin, c’est pas mal.
- Comme dans les volets précédant, pour ce qui est des effets spéciaux, c’est une fois de plus une pure merveille, même si c’est moins spectaculaire ou flagrant que dans les autres films ; cela est dut au fait que la majeure partie de l’intrigue a lieu dans le monde réel et que, du coup, on n’a pas droit a des types qui se battent en faisant des acrobaties.

Points Négatifs :
- C’est beaucoup trop long, énormément long même, au point que l’on finisse par bailler voir quasiment s’assoupir… mais à quoi cela sert-il de nous pondre des scènes de combat qui n’en finissent plus !? L’attaque de Zion en devient une véritable souffrance, et, du coup, tout ce qui s’en suit en devient pénible…
- Du coup, on se retrouve avec un troisième volet quasi-bancal et où, finalement, il ne se passe pas grand-chose vu que, les deux tiers du temps, on a droit a des humains qui se battent contre des machines ou le vaisseau de Niobe qui vole dans un couloir. Bref, le début est bien, la fin également, pour le reste, c’est un peu bof.
- Dommage car en raccourcissant pas mal de choses et en donnant de l’importance a d’autres scènes, l’équilibre de ce Matrix Revolutions aurait été plus réussi et ce film aurait été aussi bon que ses prédécesseurs.

Ma note : 7/10

Matrix Reloaded


Matrix Reloaded
 
Néo parvient à mieux contrôler ses dons et pouvoirs naturels. Cependant, le temps presse : Sion va être attaquée par 250000 sentinelles robotiques, programmées pour anéantir les derniers humains. Morpheus tente de galvaniser les habitants de Sion en leur rappelant la parole de l'Oracle : l'Élu est capable d'arrêter la guerre contre les machines. Alors que tous les espoirs sont sur lui, Neo est confronté à une résistance croissante. De son côté, son ennemi, le programme d'éradication appelé Agent Smith, a perdu sa fonction initiale et devient un programme libre de se propager dans la Matrice. Son seul but : contrôler la Matrice puis le monde réel, mais il reste un unique obstacle devant lui : Néo.
 

Matrix Reloaded
Réalisation : Larry et Andy Wachowski
Scénario : Larry et Andy Wachowski
Musique : Don Davis
Production : Warner Bros
Genre : Science-Fiction, Cyberpunk
Titre en vo : The Matrix Reloaded
Pays d'origine : Etats-Unis, Australie
Langue d'origine : anglais
Date de sortie : 7 mai 2003
Durée : 132 mn

Casting :
Keanu Reeves : Néo
Carrie-Anne Moss : Trinity
Laurence Fishburne : Morpheus
Hugo Weaving : Agent Smith
Matt McColm : Agent Thompson
Monica Bellucci : Persephone
Gloria Foster : L'Oracle
Lambert Wilson : Le Mérovingien
Randall Duk Kim : Le Maître des Clés
Sing Ngai : Séraphin
Jada Pinkett Smith : Capitaine Niobe
Essie Davis : Maggie
Neil et Adrien Rayment : Les Jumeaux
Harry Lennix : Commandant Lock
Harold Perrineau Jr. : Link
Anthony Zerbe : Conseiller Hamann
Helmut Bakaitis : L'Architecte
 
Mon avis :
 Comme vous l’avez sans nul doute remarqué, dans ma critique précédente je vous ai parlé de l’un des films les plus marquants de la fin du siècle dernier, le célèbre Matrix. Forcément, puisque j’étais si bien lancer, il me fallait poursuivre mes critiques des autres volets de la saga et vous parler, donc, de ce Matrix Reloaded, second volet d’une trilogie qui aura sans nul doute parquée son époque – et je pense que tous ceux qui l’on connut seront plus ou moins d’accord avec moi. Bon, tout d’abord, avec ce film que les fans auront attendus pendant quatre longues années, ce qui en ressort principalement, c’est que l’effet de surprise ressenti lors du premier volet ne fonctionne plus : nous sommes désormais en terrain familier, et, que ce soit le synopsis – ce monde imaginaire crée par les machines pour que ces dernières puissent se nourrir des humains – ou les effets spéciaux – bullet time et compagnie – tout cela n’a plus rien de nouveau. Pourtant, force est de constater que les frères Wachowski (a l’époque, ils étaient encore deux frères) vont encore plus loin dans cette suite, sublimant des effets spéciaux pourtant déjà exceptionnels dans le premier film ; ce fait, incontestable et que j’avais oublié, est selon moi important car si au fil des ans, on devient blasé par tout un tas de choses, on ne peut nier que même près de quinze ans plus tard, rares sont ceux qui peuvent rivaliser avec cette trilogie. Ceci étant dit, quid du scénario ? Eh ben, ma foi, la aussi, ce fut une bonne surprise car malgré le fait que l’on soit en terrain connu et que ce film n’est que le second de la trilogie – place toujours batarde en temps normal – il faut lui reconnaitre sa qualité scénaristique indéniable : on apprend pas mal de choses sur la Matrice, sur la lutte entre les humains et les machines, sur les programmes libres qui jouent leur propre jeu, mais aussi, pas mal de nouvelles questions pour le moins intrigantes suite a la rencontre entre Néo et l’Architecte, celle-ci semblant avoir déjà eu lieu plusieurs fois auparavant. Ajoutons a cela des scènes d’actions toujours aussi impressionnantes et un approfondissement général de l’univers de l’œuvre et vous comprendrez mon enthousiasme final quant a se second volet de Matrix. Dommage qu’une certaine facilité scénaristique prenne parfois le pas sur l’ensemble et que de longues discussions métaphysiques pas toujours simple a saisir viennent un peu gâcher l’ensemble, mais bon, ce ne sont que des détails qui n’empêchent nullement ce Matrix Reloaded d’être un excellent film.
 

Points Positifs
 :
Matrix avait placé la barre très haut en 1999, Matrix Reloaded réussi l’exploit, quatre années plus tard, de faire encore mieux, pourtant, ce n’était pas gagner. Mais sincèrement, les effets spéciaux sont encore plus impressionnants que dans le premier volet.
- Un approfondissement de nos connaissances de l’univers de la Matrice, de son histoire, de la lutte entre humains et machines, de l’existence de programmes qui jouent leur propre jeu, mais aussi, ne l’oublions pas, tout un tas de nouvelles questions qui viennent remettre en cause bon nombre de nos certitudes.
- Mine de rien, il y a une flopée de scènes cultes : la poursuite sur l’autoroute, Néo contre les hommes du Mérovingien, Néo, toujours lui, contre des dizaines d’Agent Smith.
- Bien évidement, tout ce que l’on avait aimé dans le premier volet est encore présent ici : esthétique générale, synopsis, personnages plutôt réussis, effets spéciaux, scènes d’actions à couper le souffle, etc.
  
Points Négatifs :
- Bien évidement, ici, l’effet de surprise ressenti lors du premier volet ne marche plus, ce qui n’est pas non plus un véritable défaut en soi, la chose étant logique. Mais bon, ça compte tout de même.
- La scène de la danse a Sion : la première fois que je l’ai vu, je l’ai trouvée ridicule, et douze ans plus tard, mon opinion n’a pas changée…

Ma note : 8,5/10