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dimanche 19 mai 2024

Le Jour le plus Long


Le Jour le plus Long
 
La guerre sera gagnée ou perdue sur ces plages. Nous n'avons qu'une seule chance de repousser l'ennemi, et c'est quand il sera dans l'eau, barbotant et luttant pour venir à terre. Nos renforts n'arriveront jamais sur les lieux de l'attaque et ce serait folie que de les attendre. La Hauptkampflinie sera ici. Toutes nos forces doivent se trouver le long des côtes. Croyez moi, Lang, les premières vingt-quatre heures de l'invasion seront décisives... Pour les Alliés, comme pour l'Allemagne, ce sera le jour le plus long. Erwin Rommel, 22 avril 1944 lors de son inspection du Mur de l'Atlantique.
 

Le Jour le plus Long
Réalisation : Darryl F. Zanuck, Ken Annakin, Andrew Marton, Bernhard Wicki, Elmo Williams, Gerd Oswald
Scénario : Cornelius Ryan, Romain Gary, James Jones, David Pursall, Jack Seddon, Erich Maria Remarque, Noël Coward
Musique : Maurice Jarre, Paul Anka
Production : Twentieth Century Fox
Genre : Guerre, Historique
Titre en vo : The Longest Day
Pays d'origine : États-Unis
Langue d'origine : anglais, allemand, français
Date de sortie : 04 octobre 1962
Durée : 171 mn

Casting :
Américains et Canadiens
Henry Fonda : Brigadier Général Theodore Roosevelt, Jr.
John Wayne : Lieutenant-colonel Benjamin H. Vandervoort
Robert Mitchum : Brigadier Général Norman Cota
Robert Ryan : Brigadier Général 82° Airborne James M. Gavin
Mel Ferrer : Général Robert Haines
Rod Steiger : Commandant de Destroyer
Red Buttons : Soldat John Steele
Roddy McDowall : Soldat Morris
Eddie Albert : Colonel Thompson
Paul Anka : Un ranger américain
Richard Beymer : Soldat Dutch Schultz
Ray Danton : Capitaine Frank
Fred Dur : Un Major des rangers
Fabian : Un ranger
Tony Mordente : Un ranger
Steve Forrest : Capitaine Harding
Henry Grace : Général Dwight D. Eisenhower
Peter Helm : Un jeune GI
Jeffrey Hunter : Sergent John H. Fuller
Alexander Knox : Général Walter B. Smith
Dewey Martin : Soldat Wilder
Sal Mineo : Soldat Martini
Edmond O'Brien : Général Raymond O. Barton 4e Infantry division
Tommy Sands : Un ranger
George Segal : Un ranger
Nicholas Stuart : Lieutenant Général Omar Bradley
Tom Tryon : Lieutenant Wilson
Robert Wagner : Un ranger
Stuart Whitman : Lieutenant Sheen
Clint Eastwood : un ranger participant à l'assaut de la pointe du hoc
John Crawford : Colonel Caffey
Joseph Lowe : un soldat escaladant la Pointe du Hoc
Edward Meeks : un soldat américain
Mickey Knox : l'aviateur américain à l'œil bandé
Britanniques
Patrick Barr : Group Captain J.M. Stagg
Geoffrey Bayldon : un officier au briefing du général Eisenhower
Lyndon Brook : Lt. Walsh
Richard Burton : Flying Officer David Campbell
Bryan Coleman : Ronald Callen
Sean Connery : Soldat Flanagan
Bernard Fox : Un soldat
Leo Genn : Brig. Gén. Edwin P. Parker Jr.
John Gregson : Un aumônier militaire
Jack Hedley : Officier de l'information de la R.A.F.
Donald Houston : Un pilote de la RAF
Simon Lack : Air Marshal Trafford Leigh-Mallory
Peter Lawford : Brigadier Lord Lovat
Leslie de Laspee : Piper Bill Millin
Michael Medwin : Soldat Watney
Kenneth More : Captain Colin Maud
Louis Mounier : Air Marshal Arthur William Tedder
Leslie Phillips : Un officier de la RAF
Trevor Reid : General Bernard Montgomery
Norman Rossington : Soldat Clough
Richard Todd : Major John Howard
Richard Wattis : Un parachutiste
Howard Marion-Crawford : Le médecin en planeur
Allemands
Hans Christian Blech : Major Werner Pluskat
Wolfgang Büttner : Général Hans Speidel
Gert Fröbe : Sergent Kaffeekanne
Paul Hartmann : Feld-maréchal Gerd von Rundstedt
Ruth Hausmeister : L'épouse de Rommel
Michael Hinz : Manfred Rommel
Werner Hinz : Feld-maréchal Erwin Rommel
Karl John : Général Wolfgang Häger
Curd Jürgens : Général Günther Blumentritt
Til Kiwe : Capitaine Helmuth Lang
Wolfgang Lukschy : Général Alfred Jodl
Kurt Meisel : Capitaine Ernst Düring
Richard Münch : Général Erich Marcks
Hartmut Reck : Sergent Bernhard Bergsdorf
Heinz Reincke : Colonel Josef Priller
Ernst Schröder : Général Hans von Salmuth
Heinz Spitzner : Lieutenant-colonel Helmuth Meyer
Wolfgang Preiss : Général Max-Josef Pemsel
Peter van Eyck : Lieutenant-colonel Ocker
Eugene Deckers : Major à l'église
Loriot : officier d'ordonnance du Général Pemsel
Français
Arletty : Madame Barrault
Yves Barsacq : résistant français
Jean-Louis Barrault : Père Louis Roulland
Bourvil : le résistant et maire de Colleville-sur-Orne
Pauline Carton : la femme de Louis
Irina Demick : Jeanine Boitard
Christian Marquand : Commandant Philippe Kieffer
Maurice Poli : Jean, un passeur
Madeleine Renaud : la Mère supérieure
Georges Rivière : Second-maître Guy de Montlaur
Alice Tissot : la concierge
Georges Wilson : Alexandre Renaud, maire de Sainte-Mère-Église
Bernard Fresson : un pilote français
Fernand Ledoux : Louis, l'habitant de la maison qui regarde le sergent Kaffeekanne passer
Michel Tureau : le radio du Commandant Kieffer
Australiens
John Meillon : Amiral Alan G. Kirk
Ron Randell : Joe Williams
Belges
Jean Servais : Contre-amiral Jaujard
 
Mon avis :
 Le 6 juin prochain, nous célébrerons, comme chacun sait ou, du moins, je l'espère, le quatre-vingtième anniversaire de ce qui restera, probablement, comme étant le plus grand débarquement militaire de l’histoire de l’humanité car bon, comment dire, une telle opération, de nos jours et avec l’armement et la technologie moderne, aurait bien peu de chances de réussir. Nous étions donc le 6 juin 1944, il faisait un temps pourri sur la Manche et, alors que l’état major allemand attendait un débarquement allié au Pas-de-Calais et par beau temps, ce fut sur les plages normandes que celui-ci eut lieu, dans des conditions tout simplement dantesques. Bien entendu, les choses furent loin, très loin d’être faciles pour les anglo-américains et leurs alliés et, ne serais-ce quelques coups du sort et un état major allemand pétrifié en raison du sommeil d’un certain Hitler, peut-être que l’Histoire aurait été différente. Fort heureusement, le débarquement fut une réussite et n’en déplaise aux habituels gauchistes, un nouveau tournant fut acté au cours de cette Seconde Guerre Mondiale suite a l’arrivée des troupes alliées en Normandie, empêchant de fait une victoire totale de l’Allemagne voir de l’URSS. Ceci étant dit, il est temps, à présent, d’aborder le cas de ce qui est, sans nul doute, le plus grand film de guerre de tous les temps, de ce véritable monument du cinéma, Le Jour le plus Long. Datant de 1962, c’est-à-dire, même pas vingt ans après le débarquement, ce long métrage américain est un véritable cas d’école de ce que le cinéma hollywoodien peut nous offrir de meilleur. Ainsi, avec un casting international que l’on peut qualifier de tout bonnement extraordinaire et où l’on retrouve quasiment toutes les plus grandes stars de l’époque – Henry Fonda, John Wayne, Robert Mitchum, Richard Burton, Sean Connery, Robert Ryan, Paul Anka, Robert Wagner, Arletty et Bourvil pour ne citer que les plus connus – une reconstitution historique quasiment sans la moindre faute, même si, il faut le reconnaitre, il existe quelques différences mineures avec la réalité historique mais sans que celles-ci nuisent au film, une bande originale inoubliable signée Maurice Jarre – le père d’un certain Jean-Michel Jarre – une flopée de conseillers militaires, alliés et allemands, qui apportèrent une touche de crédibilité à l’ensemble, tout un tas de scénaristes de premier plan comme Cornelius Ryan – le film est une adaptation de son roman – Romain Gary et Erich Maria Remarque, force est de constater que ce long métrage avait tout pour lui et fut, incontestablement, la réussite attendue qui, plus de six décennies après sa sortie initiale dans nos salles obscures, n’a rien perdu de sa force ni de son intensité – et pourtant, que la concurrence fut rude depuis… Alors, amateurs de grand cinéma, de films de guerres mais aussi, amateurs d’Histoire et, plus particulièrement, de la Seconde Guerre Mondiale, je pense ne pas me tromper en affirmant que Le Jour le plus Long est fait pour vous : parfait de bout en bout, captivant malgré ses plus de trois heures, celui-ci est, incontestablement, le maitre étalon d’un genre qui, au fil du temps, nous aura tout de même donné bien des chef d’œuvres – La Grande Évasion, Le Pont de la Rivière Kwaï, Les Canons de Navarone et bien d’autres… D’ailleurs, j’irais même plus loin pour une fois : en temps normal, j’ai l’habitude de dire qu’un bon reportage est préférable a un film, cependant, dans le cas présent, je pense qu’il serait dommage de bouder son plaisir tant ce Jour le plus Long est une réussite de premier plan !
 

Points Positifs
 :
- Le plus grand film de guerre de tous les temps, tout simplement ! Il faut dire que, avec Le Jour le plus Long, tout est parfait, ou presque, et ce, a tout niveaux. Reconstitution historique de qualité et quasiment parfaite, casting international exceptionnel composé des plus grands noms du cinéma de l’époque, coté épique de la chose, voilà un long métrage sans la moindre fausse note et qui, malgré six décennies écoulées, n’a absolument rien perdu de sa force.
- Une reconstitution historique que l’on peut qualifier sans peine d’excellente et qui, dans les grandes lignes, brille particulièrement par sa crédibilité – il y a bien quelques petits détails arrangeants avec la réalité mais ceux-ci ne sont guères nombreux. Bref, de quoi satisfaire les amateurs d’Histoire.
- Un casting tout simplement incroyable et qui comporte bon nombre des plus grandes stars de l’époque, mêlant, allègrement, acteurs américains, britanniques, allemands et français. Ainsi, entre Henry Fonda, John Wayne, Robert Mitchum, Richard Burton, Sean Connery, Robert Ryan, Paul Anka, Robert Wagner, Arletty et Bourvil pour ne citer que les plus connus, force est de constater que nous avons droit a un casting cinq étoiles !
- De nombreux conseillers militaires ayant participé au conflit, alliés comme allemands, ont aidé au scénario et cela se ressent, quand aux scénaristes, quand on entend des noms comme Cornelius Ryan, Romain Gary et Erich Maria Remarque, on comprend immédiatement que la qualité sera au rendez vous !
- Décors, costumes, divers véhicules militaires, reconstitution historique, tout est parfait !
- Le Jour le plus Long dure plus de trois heures, pourtant, a aucun moment le spectateur s’ennui, bien au contraire.
- Les anglo-américains parlent en anglais, les allemands en allemand et les français en français, ce qui renforce la crédibilité de l’ensemble.
- Une bande originale excellente et inoubliable signée Maurice Jarre, auquel il faut ajouter, la chanson du générique interprétée par Paul Anka.

Points Négatifs :
- Quelques petites erreurs historiques, mais bon, celles-ci sont peu nombreuses et ne nuisent guère a la qualité générale de l’ensemble.
- A moins d’être totalement allergique à ce genre de films, je ne vois pas vraiment ce que l’on peut trouver à redire au sujet de ce Jour le plus Long ?!
- Les traditionnels gauchistes de tout poil et les anti-américanismes habituels pesteront, naturellement, contre ce film, mais bon, quelque part, qu’importe leur avis totalement biaisé par une idéologie débile ?

Ma note : 9/10

jeudi 14 mars 2024

Indiana Jones et la Dernière Croisade


Indiana Jones et la Dernière Croisade
 
Utah, 1912. Le jeune Indiana Jones fait partie d'une troupe de scouts quand il surprend des pilleurs de tombes dans une grotte. Il leur dérobe un objet précieux, la croix de Coronado, et leur échappe après une longue poursuite mais il se voit contraint de la leur restituer un peu plus tard. Côtes portugaises, 1938. Indiana Jones récupère in extremis la croix de Coronado qui lui a échappée 26 ans plus tôt, et rentre aux États-Unis. Dans un monde à la veille de la Seconde Guerre mondiale, les Nazis se lancent en quête du Saint Graal. Face à eux, un éminent médiéviste, Henry Jones, qui poursuit la quête de sa vie à la recherche de cet objet légendaire. Quand son père disparaît à Venise, Indiana Jones, renseigné par Walter Donovan, se lance sur ses traces pour le retrouver après avoir reçu le journal de la quête de son père. Il rencontre à Venise une charmante archéologue autrichienne, Elsa Schneider, qui collaborait avec son père avant sa disparition. Tous les deux découvrent sous une bibliothèque des catacombes inexplorées des chevaliers du Graal et une tombe avec une inscription donnant des indices sur l'emplacement du Graal.
 

Indiana Jones et la Dernière Croisade
Réalisation : Steven Spielberg
Scénario : Jeffrey Boam, George Lucas, Menno Meyjes
Musique : John Williams
Production : Paramount Pictures et Lucasfilm Ltd.
Genre : Aventure, Fantastique
Titre en vo : Indiana Jones and the Last Crusade
Pays d'origine : États-Unis
Langue d'origine : anglais, allemand
Date de sortie : 24 mai 1989
Durée : 127 mn

Casting :
Harrison Ford : Indiana Jones
Sean Connery : Pr. Henry Jones Sr.
Denholm Elliott : Dr. Marcus Brody
Alison Doody : Pr. Elsa Schneider
John Rhys-Davies : Sallah
Julian Glover : Walter Donovan
River Phoenix : Indiana Jones adolescent
Michael Byrne : colonel Ernst Vogel
Kevork Malikyan : Kazim
Robert Eddison : le chevalier du Graal
Richard Young : le pilleur de tombes au fedora
Alexei Sayle : le Sultan
Alex Hyde-White : Henry Jones Sr. Jeune
Paul Maxwell : l'homme au panama
Isla Blair : Mrs. Donovan
Vernon Dobtcheff : le majordome
Bradley Gregg : Roscoe, un pilleur
Pat Roach : un homme de la Gestapo
Eugene Lipinski : un homme de main de Donovan
Ronald Lacey : Heinrich Himmler
Michael Sheard : Adolf Hitler
 
Mon avis : 
Troisième volet de ce qui est bel et bien l’une des plus grandes sagas de l'histoire du Septième Art, Indiana Jones et la Dernière Croisade fut, pendant longtemps, le dernier film de la série. C’était, bien entendu, avant qu’en 2008 ne paraisse sur les écrans le si décrié par les fans Indiana Jones et le Royaume du Crane de Cristal. Cependant, aux yeux d'une bonne partie du public, les aventures de notre archéologue préféré se sont achevés a la toute fin des années 80 avec ce volet qui, accessoirement, est l’un des tous meilleurs de la saga. Car après le spectaculaire Indiana Jones et le Temple Maudit qui reste malgré tout un très bon film, avec cette Dernière Croisade, Lucas et Spielberg renouent avec tout ce qui avait fait la force du premier volet, Les Aventuriers de l’Arche Perdue : sensiblement les mêmes lieux pour l’aventure principal, grand retour des nazis en tant qu’adversaires, nouvelle quête archéologique a tendance biblique, le Graal ayant remplacer l’Arche d’Alliance et, pour finir, retour en grâce de certains protagonistes du premier volet comme Marcus et Sallah, ce qui fait que, par la force des choses, les deux films sont liés par le biais de tous ces points communs, ce qui n’était bien entendu pas le cas avec Le Temple maudit. Mais là où Indiana Jones et la Dernière Croisade frappe fort, c’est par l’ajout d’Henri Jones Sr, formidablement interprété par un Sean Connery au sommet de sa forme, ce qui nous donne tout un tas de scènes plutôt amusantes puisque la relation entre le père et le fils est pour le moins conflictuelle. Un ajout oh combien positif, qui marque les esprits et qui ajoute du piment a une intrigue digne de la saga dans son ensemble, c’est-à-dire que dans le genre aventure, on a de toute façons rarement fait mieux qu’un Indiana Jones. Bref, vous l’avez compris, Indiana Jones et la Dernière Croisade concluait, lors de sa sortie, de fort belle manière ce qui fut pendant longtemps une simple trilogie : captivant, drôle, nous faisant voir du pays, ce film, en son temps, aura marqué toute une génération de fans du personnage. Bien évidement, de façon plutôt inattendue, il y eut une suite par la suite, forcément moins somptueuse, mais bon, ceci est une autre histoire et d’ici qu’ils nous pondent un cinquième volet un jour ou l’autre…
 

Points Positifs
 :
- La présence de Sean Connery dans le rôle du père d’Indiana Jones est un pur régal car non seulement l’acteur écossais, dans un rôle vieillissant, apporte une touche de fraicheur au film, mais en plus, les relations entre les deux hommes sont tellement complexes que cela en devient un régal.
- En s’inspirant énormément de tout ce qui avait fait le succès du premier volet, Les Aventuriers de l’Arche Perdue, le duo Spielberg et Lucas a vu juste car cela nous permet de retrouver l’ambiance du meilleur film de la saga mais aussi, d’en faire une vrai suite – lieux, personnages, adversaires – ce qui n’était pas le cas du Temple Maudit qui était en fait une préquelle.
- Indiana Jones n’est jamais aussi bon que lorsqu’il se met en quête d’un artefact biblique – le Graal ayant remplacé l’Arche d’Alliance – et lorsqu’il doit cogner du nazi.
- Harrisson Ford possède tout de même une classe naturelle et ce rôle lui va si bien…
- La scène du début, qui nous apprend comme le jeune Indiana est devenu ce qu’il est. Intéressante, bien sur, mais aussi drôle.
- Venise, l’Autriche, l’Allemagne, Petra… on en voit du pays dans ce film !

Points Négatifs :
- Certains regretteront quelques trop grandes ressemblances entre ce film et le premier volet, c’est ce qui en fait sa force mais il est clair que certains points communs sont un poil excessif.
- Ce film n’accuse absolument pas son age, sauf pour les scènes où il y a des explosions, là, c’est à chaque fois problématique. Mais bon, c’est valable pour tous les longs métrages de l’époque.
 - On sait très bien qu’Indiana Jones possède une chance insolente – et dans un jeu de rôle, il aurait le maximum en points de chance – mais bon, par moments, c’est un peu exagéré.

Ma note : 8,5/10