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dimanche 31 mars 2024

Tekken Tag Tournament


Tekken Tag Tournament
 
Pénétrez dans l'arène des matchs par équipes pour une expérience de combat optimal, formez des équipes et affrontez vos adversaires dans des combats au rythme effréné. Tekken Tag Tournament propose une trentaine de personnages que vous pouvez associer comme bon vous semble pour effectuer des combos dévastateurs. Tekken Tag Tournament est jouable à quatre via le multitap.
 

Tekken Tag Tournament
Éditeur : Namco
Développeur : Namco
Concepteur : Katsuhiro Harada
Date de sortie : 24 novembre 2000
Pays d’origine : Japon
Genre : Jeu de Combat
Mode de jeu : Solo, Multijoueur
Média : DVD
Contrôle : Manette
Plate-forme : PS2
 
Mon avis : 
Pour en finir avec la Playstation 2 car oui, avec cette fin du mois de mars, nous arrivons a la fin, également, de mes critiques consacrées a la seconde version de la légendaire console de chez Sony, j’ai souhaité vous parler d’un autre soft de combats, ce, après SoulCalibur 2 dont je vous ai proposer la critique précédemment, je veux, bien entendu, parler de Tekken Tag Tournament ! Bon, tout d’abord, il est plutôt coquasse que je vous parle de ce soft maintenant alors que, pour la petite histoire, celui-ci fut un des tous premiers jeux du genre à être sortis sur PS2, cependant, n’étant pas un grand fan du genre, j’ai souhaité vous parler des deux uniques jeux qui m’avaient marquer au même moment. Ceci étant dit, quid, donc, de ce Tekken Tag Tournament ? Bon, comme son titre l’indique, celui-ci fait parti de la longue saga des Tekken et fait donc suite, naturellement, au cultissime Tekken 3 dont je vous ai parlé le mois dernier. Ayant, à l’époque, fortement apprécié le troisième volet de Tekken, ce fut, avec un enthousiasme certain que j’attendais un nouvel épisode sur cette si prometteuse PS2. Le souci, c’est que, à la place d’avoir un véritable Tekken 4, nous avons eu droit à une espèce de Tekken 3 amélioré dont les deux véritables nouveautés étaient les suivantes : la quasi-intégralité des protagonistes des volets précédents et le fait de pouvoir jouer à quatre. Hum, bien trop peu, il faut le reconnaitre, pour un jeu dont le concept en lui-même est loin d’être enthousiasmant – après tout, difficile d’être vraiment original avec un soft de combat – et dont le seul gros point positif était le fait que, PS2 oblige, nous avions droit à des graphismes améliorés. Du coup, si Tekken Tag Tournament est un jeu plutôt sympathique, une fois que l’on a fait le tour de tous les protagonistes, il faut reconnaitre que tout cela a tendance à tourner en rond et qu’on finit par le lâcher rapidement, afin de passer a autre chose. Dommage pour la saga, dommage, surtout, quand on pense à Tekken 3 qui, lui, reste encore comme étant le maitre étalon de la série, ce, malgré le temps écoulé…
 

Points Positifs
 :
- Le plaisir, pour les vieux fans de Tekken, d’avoir droit à une suite où l’on peut retrouver la quasi-intégralité des protagonistes de la saga – et ceux-ci sont nombreux puisqu’au nombre de 30. Bref, de quoi passer de bons moments, bien bourrins !
- La grosse nouveauté de ce soft est le fait que l’on puisse jouer à quatre, ce qui était plutôt fun, il faut le reconnaitre.
PS2 oblige, nous avons droit à des graphismes de qualité – du moins, pour l’époque, cela va de soit.
- La saga Tekken s’est toujours démarquée de la concurrence par ses protagonistes variés et charismatiques et c’est un vrai plaisir de les retrouver ici.

Points Négatifs :
- Pas vraiment de nouveautés, il faut le reconnaitre et on a tout juste l’impression de jouer à une version améliorée de Tekken 3.
- Les protagonistes sont nombreux, certes, mais il faut rappeler qu’une bonne partie ne sont que des versions à peine différentes d’autres combattants.
- Cela reste un jeu de combat, avec les qualités et les défauts du genre et, justement, si l’on joue en solo, on risque très rapidement de s’ennuyer tellement  tout cela est fait pour que l’on prenne davantage de plaisir a deux ou a quatre…

Ma note : 7,5/10

SoulCalibur 2


SoulCalibur 2
 
Quatre ans après les événements de SoulCalibur, le grand massacre qui avait terrorisé l'Europe s'arrête d'une façon subite. Le chevalier à l'armure azur, Nightmare, et ses sbires ont réussi à collecter assez d'âmes, sous l'influence maléfique de Soul Edge, et étaient prêts à commencer la cérémonie à Ostreinsburg. À peine la cérémonie commencée, trois jeunes guerriers attaquent le royaume. Après un intense combat, Nightmare perd, mais l'âme maléfique à l'intérieur de Soul Edge envoie les trois jeunes guerriers dans un vortex. Alors que SoulCalibur, l'épée des esprits, devient une menace de plus en plus grande aux yeux de Soul Edge, cette dernière se met en tête de rassembler ses fragments manquants, éparpillés à travers le monde, afin de recouvrer sa pleine puissance et, ainsi, détruire SoulCalibur.
 

SoulCalibur 2
Éditeur : Namco
Développeur : Namco
Concepteur : Hiroaki Yotoriyama
Date de sortie : 27 mars 2003
Pays d’origine : Japon
Genre : Jeu de Combat
Mode de jeu : Solo, Multijoueur
Média : DVD
Contrôle : Manette
Plate-forme : PS2
 
Mon avis : 
Sur la première Playstation, parmi les innombrables jeux de combats disponibles, un seul, véritablement, avait sut briller de par son originalité indéniable même si, il faut le reconnaitre, cela était dut peut-être davantage a la forme qu’au fond. En effet, Soul Blade, puisque c’est de lui que je veux vous parler, avait sur marquer les esprits des amateurs du genre par le fait que, ici, nous n’avions pas affaire a des pratiquants en arts martiaux – sauf quelques uns mais ce n’est pas le principal – mais a de véritables guerriers et guerrières, issus de plusieurs pays. Ainsi, dans Soul Blade, entre le chevalier cuirasser européen, le pirate, le samouraï ou la ninja, pour ne citer que quelques exemples, l’amateur de joueur de combats avait de quoi faire et avait pris, indéniablement, bien du plaisir lors de ses affrontements qui sortaient de la norme, du coup, vous pouvez imaginez que j’avais grande hâte de retrouver un nouveau volet de la saga, ce, sur une console plus puissante… or, là, il fallut patienter quelques années puisque le premier volet de SoulCalibur – la saga avait changée de nom – n’avait vu le jour que sur la première X-Box. Un premier volet auquel je n’ai jamais joué mais peu importe puisque, assez rapidement, SoulCalibur 2 débarqua sur la PS2 et, ma foi, disons que celui-ci fut à la hauteur de mes espérances ! Graphismes nettement améliorés et superbes pour l’époque, nouveaux personnages, jouabilité toujours au top, bref, que dire de plus si ce n’est que, tandis que, a l’époque, la saga Tekken s’engluait dans un certain confort sans savoir se renouveler, SoulCalibur, lui, se démarquait nettement de son comparse et ravissait de nombreux joueurs de part le monde. Un superbe soft, donc, que ce SoulCalibur 2 et qui m’aura occupé bien des heures en son temps au point même que, depuis, je n’ai plus jamais retrouver les mêmes sensations sur un autre jeu du genre – d’un autre coté, je l’ai un peu mis de coté depuis longtemps et il serait peut-être temps de m’y remettre un jour !?
 

Points Positifs
 :
- Pour les vieux amateurs de Soul Blade sur la première Playstation, l’arrivée, par le biais de ce soft, sur PS2, est un pur régal : il faut dire que SoulCalibur 2 est tout simplement magnifique, graphiquement parlant – pour l’époque, bien entendu – et que l’arrivée de nombreux nouveaux protagonistes apporte une touche de nouveauté plutôt bienvenue.
- Le concept est toujours le même, bien entendu, mais force est de constater que c’est toujours un plaisir que de manier des personnages qui se battent a l’arme blanche et non avec leurs poings.
- Pour ce qui est du casting, il n’y a rien à redire, celui-ci reprend les anciennes têtes d’affiches de Soul Blade et l’arrivée des petits nouveaux est un plus indéniable – bien évidement, Ivy se démarque nettement du lot… on se demande pourquoi ?!
- Un des meilleurs si ce n’est le meilleur jeu de combat de la PS2. Je pense que cela veut tout dire…

Points Négatifs :
- Si vous avez connu le premier volet sur X-Box, il est possible que vous ne soyez pas aussi enthousiastes vis-à-vis de ce soft ? Après tout, l’effet de nouveauté sera nettement moins marqué, de même que l’amélioration graphique notable entre Soul Blade et ce SoulCalibur 2.
- Comme tout bon jeu de combat qui se respecte, SoulCalibur 2 possède les qualités et les défauts du genre et, s’il faut bien évidement apprécier le genre pour accrocher a ce soft, disons qu’il ne faut pas jouer en solo, sinon, au bout d’un moment, on en a rapidement fait le tour…

Ma note : 8/10

samedi 30 mars 2024

FIFA 07


FIFA 07
 
FIFA 07 est un jeu de football sur PS2 profitant de la célèbre licence FIFA. Entrainez-vous avec une IA améliorée et une ambiance de stade travaillée. Il est possible de contrôler la destinée de son club favori grâce aux ligues interactives qui suivent le calendrier réel de la saison. Il ne tient qu'à vous d'emmener votre équipe vers la gloire.
 

FIFA 07
Éditeur : EA Sports
Développeur : EA Canada
Concepteur : Joe Booth, Hugues Ricour, Kaz Makita
Date de sortie : 25 septembre 2006
Pays d’origine : Canada
Genre : Football
Mode de jeu : Solo, Multijoueur
Média : DVD
Contrôle : Manette
Plate-forme : PS2
 
Mon avis : 
Depuis les désormais lointaines années 90, ce qui ne nous rajeunit pas, FIFA nous revient au minimum une fois par an, et si, a mes yeux, la version 99 restera a jamais comme ma préféré, je dois reconnaitre que celle de 2007 – paru en 2006 mais ceci est une autre histoire – fut, pendant de longs mois, le jeu qui m’occupa le plus – il faut dire que, pendant quelques années, j’avais un peu mis les jeux de vidéo de coté en raison de quelques aléas de la vie et que je revint a mes vieux plaisirs, petit a petit, avec ce soft... Ainsi, et comme je l’ai déjà souligné sur ce blog à chaque fois que je vous ai parlé d’un soft de football, étant un dingue inconditionnel des Coupes d’Europe, ma première grande surprise fut la possibilité de créer mes propres compétitions avec 64 équipes – ce que l’on pouvait déjà faire dans Le Monde des Bleus 2003 – ce qui fut plutôt agréable : huit poules de huit, puis seizièmes, huitièmes etc. Il y avait de quoi faire, bien entendu.... Malheureusement, le problème, le très gros problème même, comme d’habitude avec cette franchise, c’était l’absence des représentants des clubs de l’est : quid des clubs russes, roumains, ukrainiens, serbes, bulgares, hongrois etc. ? Les Footix s’en moqueront, eux qui ne voient que par le Barca ou Manchester, mais pour ceux qui comme moi, aiment et respectent le football de l’est, ce fut une grosse déconvenue même si, bien évidement, ce ne fut pas non plus une surprise... Pour ce qui était de la jouabilité, quelle différence, que dis-je, quel gouffre avec les anciennes versions auquel j’étais habitué, le « syndrome FIFA » est bel et bien finis depuis longtemps et les rencontres ressemblent véritablement a des matchs de foot. Et puis, petite cerise sur le gâteau, la possibilité de marquer de loin, de très loin même pour des buts exceptionnels et inoubliables. Alors, d’un point de vue personnel, il m’aura fallut quatre tournois pour arriver a la victoire finale : un premier où je perd pour grande gueule, un autre où, niveau de difficulté plus élevé, je ne passe pas le premier tour, un troisième où je tombe en huitièmes face a la Fiorentina après un beau parcours, et enfin, la victoire tant attendue dans le quatrième (après des demi ultra serrées et légendaires contre la Juventus) où Manchester, l’équipe que je prend, était à deux doigts de passer à la trappe. Bref, vous l’avez compris, sans être parfait et avec le traditionnel souci de tous les FIFA, c’est-à-dire, l’absence d’une majorité de clubs européens majeurs, FIFA 07 fut un jeu qui me marqua durablement lors de sa sortie et qui me fit renouer avec la saga. Bien évidement, la suite, elle, fut moins enthousiasmante, mais bon, quelque part, chacun devrait savoir qu’avec ce genre de jeux, mieux faut faire de longues pauses avant de s’y replonger…
 

Points Positifs
 :
- Un FIFA assez bon, ni meilleur, ni pire que ses prédécesseurs ou ses successeurs immédiats. Il faut dire que rien ne ressemble davantage a un FIFA qu’un autre FIFA, mais bon, si vous êtes fans de football, la franchise est, bien évidement, incontournable !
- Même s’il y aurait beaucoup à redire, il y a tout de même un nombre conséquent de clubs et d’équipes nationales au rendez vous, de quoi ravir les amateurs de football moderne, c’est-à-dire, ceux qui ne jurent que par la Champions League, la Coupe du Monde et les championnats anglais et espagnols, principalement.
- Dans l’ensemble, tous les grands noms du football sont au rendez vous comme c’est le cas à chaque fois.
- Graphiquement, FIFA aura toujours été le plus beau jeu de football et ce volet ne déroge nullement à la règle.
- Un nombre conséquent de modes de jeux et la possibilité de faire nos propres tournois avec 64 équipes, ce qui est toujours sympathique.

Points Négatifs :
- Comme c’est le cas à chaque fois depuis tous les volets qui ont suivis FIFA 99, l’absence de quasiment tous les clubs d’Europe de l’Est sont un énorme défaut pour les véritables amateurs de football et les vieux amoureux des Coupes d’Europe. Il faut tout de même admettre que l’on se demande pourquoi on a droit à la quatrième division anglaise mais pas à des clubs hongrois, roumains, ukrainiens ou russes ?! Une honte selon moi…
- Les amateurs de simulation absolue préféreront, bien entendu, PES, même si, depuis quelques années, les choses ont bien changé…
- Il y a, tout de même, de quoi être dubitatif devant l’intérêt de certains modes de jeux.

Ma note : 7/10

Le Monde des Bleus 2003


Le Monde des Bleus 2003
 
Zidane, Trezeguet, Henry, Lizarazu, Barthez... ils se sont tous donné rendez-vous pour faire du Monde des Bleus 2003 une simulation de football d'exception. À commencer par des graphismes sidérants de réalisme. Pas de doute, jamais les stars du ballon rond n'avaient été représentées avant autant de fidélité. Un plus notable pour les supporters des Bleus qui auront, lors des ralentis, tout loisir d'admirer leurs joueurs préférés sous toutes les coutures. Sur le terrain, le constat s'avère lui aussi plus que convenable. Ainsi, même si l'orientation se situe à cheval entre une prise en main arcade et un feeling simulation, il reste aisé de déployer un jeu digne des plus grandes équipes. À ce chapitre, près de 650 équipes viendront s'affronter au cours d'une soixantaine de compétitions (Coupe de l'UEFA, Coupe du Monde, Intertoto, ligues européennes, etc.). L'idéal pour aiguiser vos crampons virtuels dans les plus grands stades du monde, du Stade de France, au Saitama Stadium. Complet et somptueusement réalisé, Le Monde des Bleus 2003 s'affirme comme une simulation de foot grand spectacle à laquelle les commentaires avisés de Thierry Roland et Jean-Michel Larqué viennent donner vie.
 

Le Monde des Bleus 2003
Éditeur : Sony Computer Entertainment
Développeur : SCE London Studio
Concepteur : Paul Knutzen, Chris Avellone
Date de sortie : 04 octobre 2002
Pays d’origine : Grande Bretagne
Genre : Football
Mode de jeu : Solo, Multijoueur
Média : DVD
Contrôle : Manette
Plate-forme : PS2
 
Mon avis : 
Depuis que ce blog existe et, donc, depuis que je vous propose des critiques de jeux vidéos, je n’avais eu l’occasion, pour le moment, de vous parler que d’une seule simulation de football, le légendaire – du moins, à mes yeux – FIFA 99, sans nul doute mon soft de foot préféré de tous les temps ! Ainsi, si j’aurai l’opportunité de vous parler à nouveau d’autres jeux de football, vous pouvez être sur qu’aucun d’entre eux ne tiendra la comparaison et que, accessoirement, j’aurais bien des griefs a leurs égards… sauf, finalement, pour ce qui est de ce volet de This is Football, plus connu, en France, sous le nom de Le Monde des Bleus 2003. Bon, je dois le reconnaitre, tant le titre que la jaquette de ce soft sont ridicules, pourtant, dans le cas présent, il faut savoir passer outre cette très mauvaise impression et se plonger dans le contenu, bien plus intéressant. En effet, si, graphiquement parlant, nous sommes loin de la qualité, pour l’époque, d’un FIFA – voir même d’un PES – force est de constater que le principal grief que j’éprouve pour la franchise de la firme Electronic Arts depuis longtemps est, ici, aux abonnés absents : en effet, si dans FIFA, les vieux amateurs de football peuvent regretter, années après années, l’absence des clubs de l’est et autres grands noms du ballon rond, dans Le Monde des Bleus, tous les grands clubs européens, du passé comme de l’époque, sont au rendez vous, ainsi, vous pouvez imaginer ma joie de pouvoir affronter des clubs légendaires comme le Dynamo de Kiev, le Steaua de Bucarest, l’Hajduk Split ou le Honved de Budapest, pour ne citer que quelques exemples. Bref, un pur régal pour les vieux amateurs des Coupes d’Europe que de retrouver tous ces clubs européens, le plus souvent oubliés chez FIFA – qui, bien entendu, préfère nous proposer la quatrième division anglaise… Bref, rien que pour cette raison, Le Monde des Bleus 2003 méritait le détour et si l’on ajoute la possibilité de se faire nos propres tournois avec 64 équipes, je vous laisse imaginez les heures et les heures que j’ai put passer, en son temps, avec ce soft ! Alors bien entendu, les habitués de FIFA ou de PES pesteront, probablement à raison, vis-à-vis des graphismes d’un autre age ou une jouabilité pas aussi réussie, mais bon, ici, c’est le cœur qui parle et, à mes yeux, c’est cela le plus important, alors, comme dirait l’autre, fuck FIFA et vive Le Monde des Bleus, le seul soft de foot qui, finalement, aura sut rendre hommage aux vrais grands clubs du vieux continent !
 

Points Positifs
 :
- Le jeu de foot le plus complet auquel j’ai eu l’occasion de jouer ! Il faut dire que, avec plus de 500 clubs au programme et, surtout, la présence de toutes les grandes équipes des pays de l’est qui, depuis vingt ans – ou presque – brillent par leur absence chez la concurrence, Le Monde des Bleus ne pouvait que ravir les vieux amateurs des Coupes d’Europe ancienne formule !
- Coupes d’Europe, championnats et coupes nationales, Coupes du Mondes et, bien entendu, possibilité de créer nos propres tournois avec 64 équipes au compteur ! Bref, de quoi se faire nos propres Coupes d’Europe et passer des heures et des heures de plaisir !
- Tous les grands joueurs de l’époque sont au rendez vous et, dans l’ensemble, les équipes proposées disposent de leurs effectifs au complet.
- Ceux qui préfèrent le coté arcade a la simulation seront nettement plus à l’aise avec Le Monde des Bleus qu’avec un PES ou un FIFA

Points Négatifs :
- Graphiquement, il ne faut pas se mentir : Le Monde des Bleus 2003 est à mille lieux d’un FIFA voir même d’un PES.
- Il en va de même pour la jouabilité qui, si elle ravira les amateurs d’arcade qui ne souhaitent pas se prendre la tête, déplaira fortement à ceux qui ne jurent que par la simulation.
- Le titre français, bien entendu, est ridicule au possible ! Certes, je conçois que les petits gars de chez Sony misaient tout, dans l’Hexagone, pour surfer sur la vague de succès de l’équipe de France, mais bon, de là à se coltiner un titre aussi pathétique…

Ma note : 7,5/10

lundi 25 mars 2024

Shadow of the Colossus


Shadow of the Colossus
 
Wander, jeune homme mystérieux, traverse un grand viaduc pour entrer sur des terres interdites. Monté sur son cheval Agro, il arrive dans un énorme sanctuaire au centre de la région, puis dépose sur l'autel le corps enveloppé d'un linceul qu'il transportait. Il retire le drap et on découvre le visage d'une jeune femme nommée Mono. C'est alors que plusieurs créatures qui semblent formées d'un éther très sombre apparaissent pour attaquer les personnages. D'apparence humanoïde, les créatures-ombres sont rapidement vaincues par Wander, armé de son épée. Sortant des hauteurs du temple, la voix désincarnée d'une entité connue sous le nom de Dormin se fait entendre, surprise que le voyageur possède une telle arme. Wander demande à Dormin de sauver son amie, en réintégrant l'âme dans son corps. Il lui explique que cela ne lui sera possible que lorsque les seize idoles de pierres du temple auront été détruites. Il lui faut pour chaque statue vaincre au préalable le géant qui lui est associé et qui repose quelque part dans la région. Pour cela, Dormin lui explique qu'il doit utiliser son épée, une arme unique aux pouvoirs magiques. Malgré les avertissements de Dormin qui lui explique qu'il aura un grand prix à payer pour réanimer Mono, Wander part à la recherche des Colosses.
 

Shadow of the Colossus
Éditeur : Sony Computer Entertainment
Développeur : SCE Japan Studio (Team Ico)
Concepteur : Fumito Ueda, Kenji Kaido, Shunpei Suzuki, Hitoshi Niwa
Date de sortie : 18 octobre 2005
Pays d’origine : Japon
Genre : Action-aventure
Mode de jeu : Solo
Média : DVD
Contrôle : Manette
Plate-forme : PS2

 
Mon avis : 
Sortit en la déjà lointaine année 2005, Shadow of the Colossus fut, indéniablement, un des grands jeux de la PS2. Il faut dire que le soft du sieur Fumito Ueda, auteur auparavant du fameux Ico, avait marqué son époque, ce, de par son onirisme, ses graphismes, son histoire – particulièrement la fin, plutôt triste – et, bien entendu, ses fameux Colosses, tous plus magnifiques les uns que les autres et qui inspirèrent, par la suite, bien d’autres jeux qui nous proposèrent des adversaires tous plus gigantesques les uns que les autres. Bref, d’entrée de jeu, vous avez compris que Shadow of the Colossus aura marqué son époque, que l’on peut le qualifier, sans aucun problème, d’incontournable et que, historiquement parlant, il y eut un avant et un après, pourtant, malgré toutes les louanges méritées, le soft de SCE n’aura pas conquis le grand public. Vous pouvez trouver ce fait singulier ? En fait, pas tant que cela car Shadow of the Colossus fait également partit de ce genre d’œuvres tellement spéciales, tellement destinées a un certain public que, forcément, ces mêmes spécificités font que la plupart des gens n’accrocheront pas. Cela peut paraitre dommage, certes, mais bon, on ne refera pas le monde et il est clair que, pour celles et ceux qui auront adhéré au concept de ce soft, a son univers, a son intrigue et a son originalité, Shadow of the Colossus fut un pur bonheur, un régal absolu qui en aura marquer plus d’un. Bref, le genre de jeux totalement inclassables et qui nous prouvent, a la perfection, que lorsque l’on sort de sa zone de confort, lorsque l’on ose proposer un contenu original, le résultat peut s’avérer somptueux, tout simplement…
 

Points Positifs
 :
- Indéniablement un des plus grands jeux de la PS2 et, en tous cas, sans nul doute le plus original ! D’un onirisme rare, jamais vu à l’époque – en dehors de Ico des mêmes concepteurs – nous offrant des affrontements incroyables face a des adversaires qui méritent bien leurs noms de colosses, possédant une histoire incroyable, tous ceux qui s’y sont essayer et qui ont accroché auront été littéralement conquis ! Tout bonnement inoubliable !
- Une histoire obscure tout au long du jeu et qui ne se dévoile qu’a la fin, fin qui, au passage, est plutôt triste mais fort réussie, un protagoniste principal attachant, son cheval, un univers magnifique, une ambiance inoubliable et, bien évidement, les fameux colosses !
- Les colosses, bien sur ! Tout bonnement magistraux, ils nous offrent des affrontements dantesques, variés, et qui marquent les esprits. Un pur régal !
- Graphiquement, Shadow of the Colossus en met plein la vue ! Il faut dire qu’entre des décors grandioses et qui nous éblouissent de par leur taille, l’apparence des colosses et cette ambiance post-apocalyptique du plus bel effet, difficile de ne pas adhérer a cet univers oh combien particulier mais terriblement attirant.

Points Négatifs :
- Malheureusement, pour ce qui est de la jouabilité, il faut reconnaitre que tout n’est pas parfait, loin de là. Qui plus est, lors des combats, certains mouvements de caméras hasardeux vous feront hurler de rage !
- Même si, dans l’ensemble, les décors sont magnifiques et marquent les esprits de par leur gigantisme, il faut reconnaitre que certains sont un peu vides. Certes, c’est une minorité mais on ne peut pas l’occulter.
- Bon, il faut reconnaitre qu’il faut adhérer au concept de Shadow of the Colossus et que ce soft, aussi bon soit-il, aussi magnifique soit-il, ne plaira probablement pas au grand public qui dédaignera totalement ce jeu a l’univers si particulier…

Ma note : 8,5/10

Ico


Ico
 
Ico est un jeune garçon né avec des cornes. Convaincus d'une malédiction, les villageois font alors appel aux services de chevaliers sans visages. Après un long voyage, ces chevaliers l'enferment vivant parmi un grand nombre de sarcophages d'une forteresse abandonnée. Il échappe à son funeste destin et fait la rencontre de Yorda, une entité féminine à la nature indéterminée. Les deux protagonistes, bien que ne parlant pas la même langue, s'entraident alors pour s'échapper du château, Ico veillant sans relâche sur la frêle Yorda, que des hordes de chimères tentent d'empêcher de fuir.
 

Ico
Éditeur : Sony Computer Entertainment
Développeur : SCE Japan Studio (Team Ico)
Concepteur : Fumito Ueda
Date de sortie : 30 septembre 2001
Pays d’origine : Japon
Genre : Action-aventure
Mode de jeu : Solo
Média : DVD
Contrôle : Manette
Plate-forme : PS2

 
Mon avis : 
Il était apparu comme étant un véritable ovni vidéoludique en cette lointaine année 2001, lors des tous débuts de la Playstation 2 et avait eu droit à moult critiques élogieuses de la part de la presse spécialisé, avait sut gagner le cœur de celles et ceux qui se l’étaient procurer et, pour la petite histoire, n’avait pas réalisé de grosses ventes, le contraire étant plutôt exact… De quoi est-ce que je parle ? Mais d’un certain Ico, bien évidement, premier galop d’essai d’un certain Fumito Ueda qui se fit alors connaitre de la meilleure des façons et qui revint par la suite avec deux autres merveilles dont je vous parlerais en temps et en heure : Shadow of the Colossus et The Last Guardian. Il faut dire, histoire d’expliquer le nombre peu important de ventes de ce soft lors de sa sortie, que Ico était un jeu au concept absolument pas grand public pour un sou : loin des standards de l’époque – RPG nippons, sport, aventure à la Tomb Raider, voitures – celui-ci mettait plutôt en avant un certain onirisme, la collaboration entre le personnage que l’on interprétait à l’écran et une bien mystérieuse jeune femme que l’on devait absolument protéger, moult énigmes à deviner afin que l’on puisse avancer dans l’histoire et, surtout, la relation entre les deux protagonistes et les sentiments qui en découlaient pour le joueur. Un ovni, donc, comme je vous le disais en préambule de cette critique, qui ne toucha pas le grand public mais cela, finalement, importait peu : la révolution était en marche, Fumito Ueda allait faire encore mieux avec Shadow of the Colossus et celui-ci finirait par inspirer tellement de softs par la suite – dont certains, très différents – qu’en faire la liste serait trop fastidieux selon moi. Bref, vous l’avez compris, Ico fut, en son temps, une véritable petite merveille qui mériterait, selon moi, un beau petit remake sur des consoles plus récentes mais bon, ceci est un vœu pieu de ma part qui n’arrivera peut-être jamais…
 

Points Positifs
 :
- Un des jeux les plus originaux et stupéfiants de la PS2 : complètement novateur de par son concept, absolument pas grand public pour un sou, mettant l’accent sur la relation entre les deux personnages principaux, Ico est une véritable petite merveille qui n’a absolument pas perdu de son charme même presque deux décennies après sa sortie.
- L’émotion qui se dégage de ce soft, particulièrement au vu de la relation particulière qui se noue entre le personnage que l’on interprète à l’écran – le jeune garçon à cornes – et la mystérieuse jeune fille que l’on doit protéger à tous prix ! Une première dans le petit monde des jeux vidéo !
- Même si, graphiquement parlant, Ico accuse fortement son âge désormais, il faut reconnaitre que, à l’époque, celui-ci nous proposait un univers plutôt magnifique et qui marquait les esprits de par ses décors cyclopéens.
- Enigmes diverses, plate-forme, combats et pas mal de réflexion : bref, de quoi ravir les amateurs de jeux d’aventures.
- Une première pour Fumito Ueda qui reviendra par la suite avec Shadow of the Colossus et The Last Guardian.
 
Points Négatifs :
- Hélas, pour ce qui est de la jouabilité, il y a pas mal de soucis par moments et il est courant de s’énerver, a raison, lors de multiples échecs dut a une caméra mal placée, surtout que le jeu peut rapidement être très punitif !
- Bon, il faut reconnaitre qu’il faut adhérer au concept de Ico et que ce soft, aussi bon soit-il, ne plaira probablement pas au grand public qui dédaignera totalement ce jeu a l’univers si particulier…
 
Ma note : 8/10

dimanche 24 mars 2024

Champions of Norrath


Champions of Norrath
 
Champions of Norrath sur PS2 est un jeu de rôle qui prend place dans un univers Heroic Fantasy. Le jeu permet de créer son propre héros en nous autorisant à choisir son apparence, l'attribution de ses pouvoirs et ses compétences spécifiques. Jouable seul ou jusqu'à trois joueurs sur Internet, Champions of Norrath permet également d'importer les personnages dans les parties des amis via la carte mémoire. 
 

Champions of Norrath
Éditeur : Sony Online Entertainment
Développeur : Snowblind Studios
Concepteur : Paul Knutzen, Chris Avellone
Date de sortie : 10 février 2004
Pays d’origine : Etats-Unis
Genre : Jeux de Rôles, Hack’n’slash
Mode de jeu : Solo, Multijoueur
Média : DVD
Contrôle : Manette
Plate-forme : PS2

 
Mon avis : 
Si Baldur’s Gate était un soft plutôt sympathique qui aura ravi les vieux amateurs de jeux de rôles occidentaux dont, à l’époque, la tête d’affiche était, incontestablement, la saga Diablo, force est de constater que Champions of Norrath, s’il est dans la même veine que son prédécesseur, il n’en reste pas moins largement supérieur, ce, quasiment dans tous les points… Il faut dire que ce soft, plus récent, aura bénéficié de toutes les améliorations dont on était en droit d’espérer pour un jeu du genre : graphismes bien plus beaux avec des effets de lumières magnifiques, protagonistes plus charismatiques dans l’ensemble, bestiaire plus fourni, niveaux plus variés et nombreux, sans oublier, bien entendu, une intrigue générale qui, à défaut d’être géniale, n’en reste pas moins suffisamment bonne pour tenir en haleine le joueur. Bref, de quoi passer de bons, que dis-je, de très bons moments devant sa console et se plonger, pour la toute première fois, dans l’univers de EverQuest sur PS2 – dans Baldur’s Gate, c’était Donjons & Dragons – surtout que, autre bonne nouvelle, la durée de vie, ici, à défaut de rivaliser avec celles des softs PC, n’en reste pas moins convenable… Bref, avec Champions of Norrath, nous atteignons, sans nul doute, ce qui se faisait de mieux, du moins à l’époque, dans le jeu de rôles sur consoles, un soft superbe dont je garde de très bons souvenirs et qui reste, dans son genre, le plus beaux représentant sur PS2, un jeu qui, selon moi, mériterait largement un remake sur PS5 voir un nouveau volet, mais bon, entre ce que l’on souhaite et la réalité, il y a un monde d’écart, bien entendu…
 

Points Positifs
 :
- Le meilleur jeu de rôle console de la PS2, incontestablement ! Il faut dire que, ici, si nous sommes, bien entendu, très loin de ce que pouvaient offrir ses homologues PC, nous flirtons allègrement avec la perfection du genre et que les fans ne pourront qu’être ravis par cette plongée, superbe, dans l’univers enchanteur de EverQuest.
- Graphiquement, Champions of Norrath est superbe, du moins, si l’on se remet dans le contexte de l’époque – nous sommes sur PS2. Décors, protagonistes, bestiaire, effets de lumières, tout est parfait, ou presque. Bref, un pur régal pour nos yeux surtout que les différents niveaux parcourus sont assez variés.
- Une intrigue suffisamment intéressante pour nous tenir en haleine jusqu’au bout. De plus, le bestiaire est très fourni, de même que les zones que l’on parcourt, ce qui fait que l’on ne s’ennui jamais au court de la partie.
- Une durée de vie convenable si on le compare a d’autres jeux du même genre.
- La possibilité de jouer jusqu’à quatre personnes, ce qui est rare et assez appréciable.

Points Négatifs :
- Bien entendu, les joueurs PC risquent d’être frustrés par cet épisode bien en-deçà de ce a quoi ils sont habitués. Pour rappel, à l’époque, il y avait un monde d’écart entre les deux formats vidéoludiques…
- Je pense ne pas me tromper en affirmant qu’il faut être fan de ce genre de jeux pour apprécier un titre comme Champions of Norrath.
- Dommage que la conclusion ne diffère pas selon les choix de protagonistes que l’on a effectué au départ. Cela aurait été un petit plus indéniable.

Ma note : 8/10

Baldur’s Gate – Dark Alliance


Baldur’s Gate – Dark Alliance
 
Aventurez-vous sur des terres périlleuses et contrez l'armée des forces du mal à la seule force de votre lame et de votre puissance magique. Faites évoluer votre personnage et affrontez toute une horde de créatures maléfiques. Le jeu commence par un choix entre trois personnages, Adrianna, Vahn, ou Kromlech. Durant la nuit où l'un des trois personnages entre dans la ville de la Porte de Baldur, la guilde des voleurs attaque le joueur et lui vole son argent. Son personnage va alors chercher à retrouver les voleurs pour se venger. 
 

Baldur’s Gate – Dark Alliance
Éditeur : Black Isle Studios
Développeur : Snowblind Studios
Concepteur : Darren Monahan
Date de sortie : 04 décembre 2001
Pays d’origine : Etats-Unis
Genre : Jeux de Rôles
Mode de jeu : Un ou deux joueurs
Média : DVD
Contrôle : Manette
Plate-forme : PS2

 
Mon avis : 
On ne va pas se mentir, le genre jeux de rôles pur et dur a toujours été, un peu, le parent pauvre sur nos consoles de salons. Bien évidement, il y a une explication à cela : le fait que, pendant longtemps, il y avait bel et bien un monde d’écart entre les possibilités qu’offraient les PC et les consoles, ce qui fait que, rares étaient les softs que l’on pouvait retrouver sur les deux plateformes. Ainsi, pendant fort longtemps, les amateurs du genre qui ne souhaitaient pas investir dans des ordis de qualité durent se contenter de l’excellent – malgré quelques défauts, il faut le reconnaitre – portage du premier volet de Diablo sur la Playstation, ainsi, je vous laisse imaginer leur joie lorsque, quelques années plus tard, ce Baldur’s Gate fut annoncé sur PS2… Une excellente nouvelle, bien entendu, surtout que, pour les plus agés qui, pendant les années 80, avaient passé des heures et des heures sur des jeux de rôles version papier et qui retrouveront, ici, avec plaisir, un des univers les plus connus de Donjons & Dragons, celui des Royaumes Oubliés. Bref, pour Baldur’s Gate, il y avait deux formes de public : celui qui découvrait le genre par ce soft et les autres, ceux qui étaient en terrain familier. Que l’on ne se trompe pas, les seconds, forcément, auront apprécié davantage ce soft, sauf, bien entendu, s’ils étaient de vieux retards des PC, car là, cette version console ne sera pas à la hauteur de leurs attentes… Mais bon, en se concentrant uniquement sur les joueurs consoles, en se remettant dans le contexte de l’époque et se dire que la PS2 ne tenait pas la route avec les meilleurs PC, force est de constater que ce Baldur’s Gate est, indéniablement, un bon jeu. Certes, il n’est pas parfait et l’on pourrait pester envers sa durée de vie plutôt discutable, mais, pour le reste, c’est du tout bon, à défaut, bien entendu, d’être un chef d’œuvre. Bref, vous l’avez compris, Baldur’s Gate – Dark Alliance est un très bon jeu pour peu, bien évidement, que vous soyez un amateur du genre et même si nous sommes, ici, à mille lieux des volets sur PC, les joueurs consoles, eux, frustrés du manque de titres disponibles, auront sut accueillir ce soft comme il le mérite, c’est-à-dire, avec un enthousiasme pour le moins certain…
 

Points Positifs
 :
- Un des meilleurs Diablo-like de la PS2, surtout que le genre est plutôt rare sur console à l’époque, ce qui, bien entendu, ravira les amateurs de jeux de rôles qui ont, ici, un soft de qualité.
- Si les protagonistes sont un peu petits, les graphismes n’en restent pas moins plutôt réussis et détaillés, quand aux animations, il n’y a rien à redire sur celles-ci.
- Les vieux routards des jeux de rôles retrouveront avec plaisir l’univers des Royaumes Oubliés – un des plus connus de Donjons & Dragons – mais aussi le bestiaire, certaines figures majeures, sans oublier, bien entendu, les règles du jeu.
- Pour ce qui est de la jouabilité, il n’y a rien à redire, celle-ci est plutôt intuitive et ne vous posera guère de problèmes.
- La possibilité de débloquer le légendaire Drizz't une fois que l’on a achevé la quête.

Points Négatifs :
- Dommage que la durée de vie ne suive pas… Il faut reconnaitre que pour un jeu de rôle, celle-ci est un peu trop courte. De même, les quêtes annexes brillent par leur quasi-absence.
- Bien entendu, les joueurs PC risquent d’être frustrés par cet épisode bien en-deçà de ce a quoi ils sont habitués. Pour rappel, à l’époque, il y avait un monde d’écart entre les deux formats vidéoludiques…
- Bon, nous sommes tout de même loin d’une réussite comme Diablo, il faut l’admettre.

Ma note : 7,5/10