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samedi 20 avril 2024

Blade Runner


Blade Runner
 
Six réplicants du modèle Nexus-6, génération extrêmement perfectionnée mais d'une durée de vie limitée à quatre ans (pour éviter qu'ils ne s'humanisent), détournent un vaisseau spatial, dont ils massacrent l'équipage et les passagers, avant de regagner la Terre. Ils essayent de s'infiltrer dans la Tyrell Corporation mais deux d'entre eux meurent lors de la tentative et les autres disparaissent. Plus tard, Dave Holden, un Blade Runner, fait passer le test de Voight-Kampff à Leon Kowalski, un nouvel employé de la Tyrell Corporation. Mal à l'aise, Leon, qui est un des réplicants impliqués dans l'affaire, lui tire dessus. Gaff, un policier amateur d'origami, contacte alors Rick Deckard, un ancien Blade Runner qui a quitté le service. Il le conduit à Bryant, l'ancien supérieur de Deckard. Bryant informe Deckard de la situation et lui montre la vidéo où Leon tire sur Holden. Le chef des Blade Runner fixe la mission de Deckard : retrouver et éliminer Leon, Zhora, Pris et Roy Batty (le chef du groupe), les quatre réplicants disparus.
 

Blade Runner
Réalisation : Ridley Scott
Scénario : David Webb Peoples et Hampton Fancher, d'après le roman de Philip K. Dick
Musique : Vangelis
Production : The Ladd Company, Warner Bros
Genre : science-fiction
Titre en vo : Blade Runner
Pays d’origine : États-Unis
Langue d'origine : anglais
Date de sortie : 25 juin 1982
Durée : 117 minutes
 
Casting :
Harrison Ford : Rick Deckard
Rutger Hauer : Roy Batty
Sean Young : Rachel
Edward James Olmos : Gaff
M. Emmet Walsh : Bryant
Daryl Hannah : Pris
William Sanderson : J. F. Sebastian
Joe Turkel : Dr Eldon Tyrell
Brion James : Leon Kowalski
Joanna Cassidy : Zhora
Morgan Paull : Holden
Hy Pyke : Taffey Lewis
James Hong : Hannibal Chew
 
Mon avis :
 Alors que, sur grand écran, un certain Blade Runner 2049 avait fait parler de lui, en 2017 pour être plus précis, j’eu grande envie de me replonger dans ce qui est considéré comme étant l’un des plus grands films de science-fiction de tous les temps, je veux bien évidement parler de Blade Runner, œuvre du non moins connu Ridley Scott. L’occasion était par ailleurs plus que belle puisque, aussi incroyable que cela puisse paraitre, la toute dernière fois que j’avais eu l’occasion de voir ce film, j’étais encore en age de fréquenter les bancs de l’école, c’est pour dire, du coup, vous pouvez imaginez a la fois mon plaisir et ma curiosité de me plonger dans ce Blade Runner, par certains cotés, une quasi nouveauté pour moi – bah oui, on ne peut pas vraiment dire que je me souvenais du film dans son ensemble… Ce fut donc, hier soir, tout excité que j’étais, que j’ai donc redécouvert Blade Runner, que je me suis donc plonger dans ce long métrage culte, inspiré par une nouvelle du grand Philip K. Dick, Les Androïdes rêvent-ils de Moutons Électriques ? Eh ben ma foi, dès les premières minutes, superbes – et qui rappelleront bien des souvenirs a ceux et celles qui, il y a sensiblement un quart de siècle, ont jouer a un certain Final Fantasy 7, celui-ci étant par ailleurs fortement inspiré par Blade Runner – j’avais compris que oui, mille fois oui, j’allais passer un excellent moment de cinéma, que dis-je, que j’aurais devant mes yeux la confirmation que Blade Runner était bien un chef d’œuvre du cinéma de science-fiction. Certes, ce ne fut même pas une grande surprise et ne serais-ce que pour toutes les œuvres qu’il aura inspiré par la suite, pour son esthétique somptueuse, sa musique – le grand Vangelis au sommet de son art – ses acteurs et, bien entendu, son synopsis d’une profondeur rare, son coté féerique et cette ambiance de polar qui aura accouché de tout le mouvement cyberpunk, l’œuvre de Ridley Scott ne peut laisser indifférent. Après, d’un autre coté, pour les spectateurs modernes, c’est-à-dire, les plus jeunes d’entre nous, il se peut que le coté un peu old-school du film ne plaise pas a tout le monde, ce qui, au demeurant, est plutôt dommage. Mais bon, en dehors de ce qui reste avant toute chose comme une stricte affaire de gouts – comme le fait de ne pas apprécier la science-fiction – force est de constater que, dans son genre, Blade Runner est un excellent film, une œuvre culte que tout amateur de SF se doit d’avoir vu ne serais-ce qu’au moins une fois dans sa vie…
 

Points Positifs
 :
- Un des plus grands films de science-fiction, tout simplement, et qui, a lui tout seul, aura inspiré tants d’autres œuvres par la suite que toutes les énumérées serait trop fastidieux. Mais bon, entre les films, les bandes dessinées, les jeux vidéos qui doivent tout ou presque a Blade Runner, comment ne pas rendre hommage au précurseur du courant cyberpunk !?
- Film de science-fiction qui reprend a merveille les codes du polar de la grande époque, œuvre empreinte d’une poésie rare et qui donne a réfléchir sur ce qu’est la vie et ce qui peut être qualifié de vivant, il apparait que Blade Runner est davantage qu’un simple film de SF.
- Une œuvre qui est tout sauf manichéenne et malgré leurs atrocités, comment ne pas éprouver de la compassion pour ses réplicants qui ont peur de mourir ?!
- Si Harrison Ford est égal à lui-même, il est clair que le reste du casting est a la hauteur, particulièrement Rutger Hauer qui a même des postures quasi christiques vers la fin.
- La bande originale de Vangelis, tout simplement parfaite et qui est pour beaucoup pour l’ambiance du film.
 
Points Négatifs :
- Les hurlements de loup de Rutger Hauer lors de sa course poursuite avec Harrison Ford…
- Certaines scènes accusent peut-être un peu leur age, du moins, pour les plus jeunes d’entre nous.
 
Ma note : 9/10

jeudi 14 mars 2024

Indiana Jones et le Royaume du Crane de Cristal


Indiana Jones et le Royaume du Crane de Cristal
 
Nevada, 1957. En pleine guerre froide, le professeur Henry « Indiana » Jones et son collègue Mac sont capturés par des militaires soviétiques et transportés de force dans la Zone 51, laquelle contient un hangar où sont entreposés des milliers de caisses. Sous la menace, Indiana aide les Soviétiques à s'emparer de l'une d'elles, qui a la particularité d'être magnétisée. En l'ouvrant, les Soviétiques découvrent le corps d'un être difforme. Trahi par Mac qui rejoint l'ennemi, Jones parvient à s'échapper et s'enfuit dans le désert, poursuivi par les sbires du colonel-docteur Irina Spalko. Une fois tiré d'affaire, Jones doit faire face à des agents du FBI le suspectant de se livrer à des activités illégales et de trahison envers les États-Unis. Fuyant l’Amérique pour enseigner à Leipzig, Jones fait la connaissance à la gare de New York d'un jeune motard, Mutt Williams, qui lui fait part de la disparition du professeur Oxley, enlevé par des agents soviétiques en Amérique du Sud alors qu'il recherchait un crâne de cristal, une relique légendaire…
 

Indiana Jones et le Royaume du Crane de Cristal
Réalisation : Steven Spielberg
Scénario : David Koepp, George Lucas, Jeff Nathanson
Musique : John Williams
Production : Paramount Pictures et Lucasfilm Ltd.
Genre : Aventure, Fantastique
Titre en vo : Indiana Jones and the Kingdom of the Crystal Skull
Pays d'origine : États-Unis
Langue d'origine : anglais, russe, allemand
Date de sortie : 22 mai 2008
Durée : 123 mn

Casting :
Harrison Ford : Dr Henry Walton « Indiana » Jones Jr
Shia LaBeouf : Henry « Mutt » Williams
Karen Allen : Marion Ravenwood
Cate Blanchett : Colonel-Professeur Irina Spalko
John Hurt : Pr Harold Oxley
Ray Winstone : George « Mac » MacHale
Jim Broadbent : Doyen Charles Stanforth
Igor Jijikine : Colonel Antonin Dovchenko
Alan Dale : Général Robert Ross
Joel Stoffer : Agent Taylor
Neil Flynn : Agent Paul Smith
Dimitri Diatchenko : un agent du KGB
Ilya Volok : un agent du KGB
Emmanuel Todorov : Lincoln, un soldat russe
Pasha D. Lychnikoff : Roosevelt, un soldat russe
Andrew Divoff : Grant, un soldat russe
Veniamin Manzyuk : Jefferson, un soldat russe
V. J. Foster : le pasteur
Chet Hanks : l'étudiant dans la librairie
Sasha Spielberg : la fille cognant Mutt au bar
Nito Larioza : un guerrier du cimetière
Ernie Reyes : un guerrier du cimetière
Robert Baker : Jimmy Wycroft, le sergent de la police militaire
Jon Braver : Franklin, un soldat russe
John Dixon : Hoover, un soldat russe
Gleb Kaminer : le chauffeur de Spalko
Sean Connery : Dr Henry Walton Jones Sr
Denholm Elliott : Marcus Brody
Kate Capshaw : Wilhelmina « Willie » Scott
 
Mon avis : 
Force est de constater que, avec Indiana Jones et le Royaume du Crane de Cristal, nous abordons à présent le cas le plus problématique (si l'on met de coté le cinquième volet de la saga que je n'ai pas encore vu) de ce qui restera comme étant une des figures les plus emblématiques du Septième Art de ces quatre dernières décennies, je veux, bien entendu, parler de Indiana Jones. Il faut dire que, d’entrée de jeu, l’annonce de la sortie d’un nouveau volet, en 2008, provoqua une certaine onde de choc parmi les nombreux fans de l’aventurier au fouet : véritable hérésie qui ne pouvait qu’être une simple pompe a fric, un Harrisson Ford bien trop vieux pour être crédible, des russes comme grands méchants à la place des nazis et, histoire d’enfoncer le clou, des extraterrestres ! Oui, avant même la sortie de ce film, les jeux étaient faits ! Il faut dire que, quelque part, Indiana Jones est un mythe moderne comme peuvent l’être, par exemple, Robin des Bois, Zorro ou Batman, un personnage entré tout droit dans l'imaginaire collectif, qui fait l’unanimité auprès de tous, un héros, un vrai et dans le sens le plus noble du terme ! Et, comme chacun sait, les gens n’aiment pas que l'on touche à leurs idoles… Les trois premiers films de cette saga, on ne va pas se mentir, auraient put se suffire a eux mêmes, cette trilogie, ainsi constituée était parfaite et une suite n'était pas, a priori nécessaire. Pourtant, elle était très attendue, et personnellement, je faisais parti de ceux qui rêvaient depuis des années d'un éventuel quatrième film, surtout que la rumeur courrait depuis longtemps. Alors, en apprenant que ce quatrième opus était en tournage, qu'elle ne fut pas ma joie à l'idée de retrouver un personnage qui avait bercé et émerveiller ma jeunesse, ce, même si je ne me faisais pas de grandes illusions quand a la qualité de ce film et que je me doutais bien que celui-ci ne serait pas aussi bon que ses prédécesseurs... Et puis, lorsque, finalement, Indiana Jones et le Royaume du Crane de Cristal paru sur grand écran, ce fut un véritable déferlement de haine parmi les fans et les critiques qui n’épargnèrent guère ce film. A tord ou a raison ? Eh bien, disons que, pour ma part, je suis un peu plus partagé… Disons que, contrairement a beaucoup de personnes, je n’ai pas détesté cet Indiana Jones et le Royaume du Crane de Cristal, loin de là. Tout commence dans le désert du Nevada, l'on suit une colonne de véhicules militaires avant qu' apparaisse une voiture tout droit sortie d'American Graffiti de Georges Lucas, histoire de bien nous faire comprendre que l'on a définitivement quitté les années 30, décor habituel de la saga jusque la. Quelques coups de feux plus tard, un corps est jeté sur le sol, un chapeau mythique roule, quelqu'un le ramasse et s'en coiffe et cela suffit à nous propulser une vingtaine d'années en arrière et c'est tout un mythe qui se remet en marche. Cette fois ci, plus de Nazis comme grands méchants mais des Soviétiques, ce qui est logique vu l’époque ou se déroule l’intrigue. Certains l'on regretté; personnellement, vu qu' Harison Ford a vieillit entre temps, il aurait été problématique de cantonner le personnage d’Indy aux années 30. Et tout de suite, on rentre dans le bain avec une petite et mouvementée visite dans un hangar qui rappellera de très bons souvenirs à ceux qui ont vu Les Aventuriers de l'Arche Perdue, la mystérieuse Zone 51. Et a partir de la, tout s'enchaine et l'on s'aperçoit avec plaisir qu'Harison Ford, malgré son âge, possède de beaux restes : courses poursuites, clins d'œil aux anciens films, retour de Marion qui est a mon avis la plus crédible copine d'Indy, vieux temples a explorer, légendes nébuleuses qui s'avèrent être vrai, même humour décalé, affrontement contre un gros dur et, car un Indiana Jones ne serait pas égal lui-même : invulnérabilité du personnage, chance inouïe etc. A ce sujet, nombreux ont été ceux qui ont critiqué l'une des scènes les plus absurdes du film, celle ou Indy, pour échapper a une explosion nucléaire se cache dans un frigo et en sort indemne. J’avoue que, personnellement, celle ci m'a gênée aussi. Mais, en repensant aux films précédents, je me suis dit que dans le fond, elle était à peine plus invraisemblable que le saut en canot pneumatique d'un avion dans le deuxième opus, Indiana Jones et le Temple Maudit. Il est clair que lorsque l'on regarde un Indy, faut pas trop chercher les vraisemblances; ce type est et restera l'homme le plus chanceux que la Terre ait portée, faut croire que rien ne peut lui arriver... Cependant, si nombreux on été ceux qui on critiquer ceci ou cela dans le film, peux ont pu remarquer que Steven Spielberg, malgré que son œuvre est avant tout un formidable divertissement, nous a distillé ca et la quelques petites piques sur son pays, profitant de l'époque ou se déroule l'action, la guerre froide, pour dénoncer la crainte du nucléaire : revoyez donc la scène ou Indy se retrouve dans une ville avec des mannequins en cire qui servent de test et ou un haut parleur ordonne aux habitants de détourner le regard afin de se protégés de l' explosion, ce qui est léger, mais véridique ! Mais également le Maccarthysme qui frappa tant de citoyens américains… Et c'est a ce moment, où Indy, suspecté d'être un rouge, s'apprête a quitter le pays, apparait celui qui s'avérera être son fiston, un mélange entre James Dean et Marlon Brando, symbole parfait de la jeunesse des fifties que l'on a pu voir et revoir un nombre incalculable de fois dans une bonne centaines de films et de séries... Et c'est fou que, même si dans le fond, ce personnage n’a rien d’original puisqu' il n’est que l’avatar du « jeune rebelle à moto qui passe sa vie à se coiffer », ce que le fiston colle bien au film. Après avoir eu affaire a son père dans La Dernière Croisade, voila qu'Indy se trouve une progéniture et les liens entre eux, sans être transcendants sont assez amusants. Et, avant d'en finir, on en vient a l’une des plus grosses critiques de ce film : la présence des Extraterrestres. Hérésie absolue crient certains ! Brulons Spielberg et Lucas ! Bon, comment dire ? Tout d'abord, je pense à mon humble avis que la présence de Jar Jar dans La Menace Fantôme est infiniment plus regrettable et nuit d'avantage a l'intégrité de ce film et a son sérieux. Ici, il faut se souvenir que nous sommes dans les années 50, que Roswell est passé par la et le terme soucoupe volante est d’actualité depuis une poigné d’années. En quelques sortes, ceux ci font partie intégrante du mythe américain de l’époque. Et pour ce qui est des autres épisodes de la saga, le surnaturel et le mystère n'ont jamais été bien loin avec le Saint Graal ou l'Arche d'Alliance. Et quand je pense au gus qui arrachait les cœurs de ses victimes à main nue dans Le Temple Maudit, je ne vois pas pourquoi les vieux films seraient plus crédibles que celui-ci ? Non, pour moi, la présence des Extraterrestres ne m’a pas choqué, pour les raisons évoqués plus haut mais également peut être parce que je suis habitué et que je connais toutes ces histoires de paléocontact, de dieux venus du ciel apportant la connaissance aux hommes etc. Et qu'étaient venu faire ces fameux aliens sur notre bonne vieille planète ? Etudier, chercher des reliques, des objets du monde entier : comme le dit Indy dans le film, c’était des archéologues. Au final, il apparait que sans être un grand film ni même un grand Indiana Jones, ce quatrième volet de la saga n’est pas aussi mauvais que certains l’ont trop rapidement prétendu. Certes, ont peut toujours lui trouver bien des défauts voir reconnaitre que certaines scènes sont ridicules comme celle où le fiston se balance de liane en liane et qui est digne des plus grands nanards, cependant, après tant d’années d’attente, comment ne pas reconnaitre que ce fut tout de même avec un plaisir certains que l’on a retrouver notre aventurier préféré, certes plus agé mais toujours aussi charismatique !? Indiana Jones a vieillit, cependant, il n’en reste pas moins immortel, d’ailleurs, nous n’en n’avons pas tout a fait finit avec lui puisqu’un cinquième volet est prévu ! De quoi réveiller les critiques ? Sans nul doute mais ceci est, naturellement, une autre histoire…
 

Points Positifs
 :
- Le plaisir pour les vieux fans de la saga de retrouver leur aventurier préféré qui, malgré le poids des âges, est toujours aussi charismatique et ce, dans une aventure qui n’est peut-être pas aussi bonne que dans les films précédents mais qui n’en reste pas moins suffisamment réussie pour nous faire passer un bon moment.
- Naturellement, Harrisson Ford a vieillit et commence à accuser son âge, cependant, il n’en reste pas moins toujours crédible dans ce qui est, sans nul doute, son rôle le plus culte.
- Un casting a la hauteur et qui fait parfaitement le job, qui plus est, on retrouve avec plaisir de vieilles connaissances.
- Après le père dans Indiana Jones et la Dernière Croisade, c’est au tour du fils et, ma foi, si l’idée n’est pas la plus originale, force est de constater qu’elle n’en reste pas moins efficace.
- Marion est naturellement la copine la plus crédible pour notre héros et c’est plutôt une bonne idée de l’avoir fait revenir dans la saga.
- L’idée des extraterrestres ne m’a nullement choqué vu que la saga a toujours baigné dans le fantastique et le paranormal.
- Exit les nazis, place aux soviétiques, ce qui est logique vu l’époque où à lieu l’histoire.

Points Négatifs :
- Bien entendu, Indiana Jones et le Royaume du Crane de Cristal est le volet le moins aboutit de la saga jusqu’à ce jour puisqu’un cinquième film est prévu. Sympathique mais loin de marquer les esprits, bien au contraire.
- Probablement que ce film est sortit trop tard vis-à-vis des autres volets de la saga.
- Je n’ai rien contre le fils et d’ailleurs Shia LaBeouf fait plutôt le job, cependant, comment ne pas reconnaitre qu’on nous a pondu, avec lui, une véritable caricature du petit rebelle des années 50 !?
- Quelques scènes sont tout de même problématiques et nuisent grandement au film, la principale étant, bien entendu, celle où le fiston saute de lianes en lianes…
 
Ma note : 7/10

Indiana Jones et la Dernière Croisade


Indiana Jones et la Dernière Croisade
 
Utah, 1912. Le jeune Indiana Jones fait partie d'une troupe de scouts quand il surprend des pilleurs de tombes dans une grotte. Il leur dérobe un objet précieux, la croix de Coronado, et leur échappe après une longue poursuite mais il se voit contraint de la leur restituer un peu plus tard. Côtes portugaises, 1938. Indiana Jones récupère in extremis la croix de Coronado qui lui a échappée 26 ans plus tôt, et rentre aux États-Unis. Dans un monde à la veille de la Seconde Guerre mondiale, les Nazis se lancent en quête du Saint Graal. Face à eux, un éminent médiéviste, Henry Jones, qui poursuit la quête de sa vie à la recherche de cet objet légendaire. Quand son père disparaît à Venise, Indiana Jones, renseigné par Walter Donovan, se lance sur ses traces pour le retrouver après avoir reçu le journal de la quête de son père. Il rencontre à Venise une charmante archéologue autrichienne, Elsa Schneider, qui collaborait avec son père avant sa disparition. Tous les deux découvrent sous une bibliothèque des catacombes inexplorées des chevaliers du Graal et une tombe avec une inscription donnant des indices sur l'emplacement du Graal.
 

Indiana Jones et la Dernière Croisade
Réalisation : Steven Spielberg
Scénario : Jeffrey Boam, George Lucas, Menno Meyjes
Musique : John Williams
Production : Paramount Pictures et Lucasfilm Ltd.
Genre : Aventure, Fantastique
Titre en vo : Indiana Jones and the Last Crusade
Pays d'origine : États-Unis
Langue d'origine : anglais, allemand
Date de sortie : 24 mai 1989
Durée : 127 mn

Casting :
Harrison Ford : Indiana Jones
Sean Connery : Pr. Henry Jones Sr.
Denholm Elliott : Dr. Marcus Brody
Alison Doody : Pr. Elsa Schneider
John Rhys-Davies : Sallah
Julian Glover : Walter Donovan
River Phoenix : Indiana Jones adolescent
Michael Byrne : colonel Ernst Vogel
Kevork Malikyan : Kazim
Robert Eddison : le chevalier du Graal
Richard Young : le pilleur de tombes au fedora
Alexei Sayle : le Sultan
Alex Hyde-White : Henry Jones Sr. Jeune
Paul Maxwell : l'homme au panama
Isla Blair : Mrs. Donovan
Vernon Dobtcheff : le majordome
Bradley Gregg : Roscoe, un pilleur
Pat Roach : un homme de la Gestapo
Eugene Lipinski : un homme de main de Donovan
Ronald Lacey : Heinrich Himmler
Michael Sheard : Adolf Hitler
 
Mon avis : 
Troisième volet de ce qui est bel et bien l’une des plus grandes sagas de l'histoire du Septième Art, Indiana Jones et la Dernière Croisade fut, pendant longtemps, le dernier film de la série. C’était, bien entendu, avant qu’en 2008 ne paraisse sur les écrans le si décrié par les fans Indiana Jones et le Royaume du Crane de Cristal. Cependant, aux yeux d'une bonne partie du public, les aventures de notre archéologue préféré se sont achevés a la toute fin des années 80 avec ce volet qui, accessoirement, est l’un des tous meilleurs de la saga. Car après le spectaculaire Indiana Jones et le Temple Maudit qui reste malgré tout un très bon film, avec cette Dernière Croisade, Lucas et Spielberg renouent avec tout ce qui avait fait la force du premier volet, Les Aventuriers de l’Arche Perdue : sensiblement les mêmes lieux pour l’aventure principal, grand retour des nazis en tant qu’adversaires, nouvelle quête archéologique a tendance biblique, le Graal ayant remplacer l’Arche d’Alliance et, pour finir, retour en grâce de certains protagonistes du premier volet comme Marcus et Sallah, ce qui fait que, par la force des choses, les deux films sont liés par le biais de tous ces points communs, ce qui n’était bien entendu pas le cas avec Le Temple maudit. Mais là où Indiana Jones et la Dernière Croisade frappe fort, c’est par l’ajout d’Henri Jones Sr, formidablement interprété par un Sean Connery au sommet de sa forme, ce qui nous donne tout un tas de scènes plutôt amusantes puisque la relation entre le père et le fils est pour le moins conflictuelle. Un ajout oh combien positif, qui marque les esprits et qui ajoute du piment a une intrigue digne de la saga dans son ensemble, c’est-à-dire que dans le genre aventure, on a de toute façons rarement fait mieux qu’un Indiana Jones. Bref, vous l’avez compris, Indiana Jones et la Dernière Croisade concluait, lors de sa sortie, de fort belle manière ce qui fut pendant longtemps une simple trilogie : captivant, drôle, nous faisant voir du pays, ce film, en son temps, aura marqué toute une génération de fans du personnage. Bien évidement, de façon plutôt inattendue, il y eut une suite par la suite, forcément moins somptueuse, mais bon, ceci est une autre histoire et d’ici qu’ils nous pondent un cinquième volet un jour ou l’autre…
 

Points Positifs
 :
- La présence de Sean Connery dans le rôle du père d’Indiana Jones est un pur régal car non seulement l’acteur écossais, dans un rôle vieillissant, apporte une touche de fraicheur au film, mais en plus, les relations entre les deux hommes sont tellement complexes que cela en devient un régal.
- En s’inspirant énormément de tout ce qui avait fait le succès du premier volet, Les Aventuriers de l’Arche Perdue, le duo Spielberg et Lucas a vu juste car cela nous permet de retrouver l’ambiance du meilleur film de la saga mais aussi, d’en faire une vrai suite – lieux, personnages, adversaires – ce qui n’était pas le cas du Temple Maudit qui était en fait une préquelle.
- Indiana Jones n’est jamais aussi bon que lorsqu’il se met en quête d’un artefact biblique – le Graal ayant remplacé l’Arche d’Alliance – et lorsqu’il doit cogner du nazi.
- Harrisson Ford possède tout de même une classe naturelle et ce rôle lui va si bien…
- La scène du début, qui nous apprend comme le jeune Indiana est devenu ce qu’il est. Intéressante, bien sur, mais aussi drôle.
- Venise, l’Autriche, l’Allemagne, Petra… on en voit du pays dans ce film !

Points Négatifs :
- Certains regretteront quelques trop grandes ressemblances entre ce film et le premier volet, c’est ce qui en fait sa force mais il est clair que certains points communs sont un poil excessif.
- Ce film n’accuse absolument pas son age, sauf pour les scènes où il y a des explosions, là, c’est à chaque fois problématique. Mais bon, c’est valable pour tous les longs métrages de l’époque.
 - On sait très bien qu’Indiana Jones possède une chance insolente – et dans un jeu de rôle, il aurait le maximum en points de chance – mais bon, par moments, c’est un peu exagéré.

Ma note : 8,5/10

Indiana Jones et le Temple Maudit


Indiana Jones et le Temple Maudit
 
Shanghai, 1935 : Indiana Jones arrive dans un bar appartenant à un gangster chinois, Lao Che. Il doit récupérer un diamant et l'échanger contre les cendres de Nurhachi, un empereur chinois. Mais l'échange tourne à la fusillade et Indiana, emportant avec lui Willie Scott, une meneuse de revue qui s'intéressait à la pierre, parvient à quitter la Chine avec l'aide de Demi-Lune, un petit garçon chinois de 11 ans débrouillard, à bord d'un avion. Mais l'avion appartient à Lao Che et les pilotes, après avoir vidé les réservoirs, sautent en parachute. Utilisant un canoë de sauvetage pour amortir leur chute, Indiana, Willie et Demi-Lune sautent de l'avion et parviennent à fuir. Ils apprennent qu'ils sont en Inde et arrivent dans un village dont tous les enfants ont été enlevés en même temps que la pierre sacrée que détenaient les indigènes. Indiana accepte d'aider les villageois et part pour le palais de Pankot, qui est d'après les villageois la source du mal. Indiana pense que la pierre sacrée pourrait être l'une des cinq pierres de Sankara, dont la possession garantit fortune et gloire.
 

Indiana Jones et le Temple Maudit
Réalisation : Steven Spielberg
Scénario : Willard Huyck, Gloria Katz, George Lucas
Musique : John Williams
Production : Paramount Pictures et Lucasfilm Ltd.
Genre : Aventure, Fantastique
Titre en vo : Indiana Jones and the Temple of Doom
Pays d'origine : États-Unis
Langue d'origine : anglais, mandarin
Date de sortie : 23 mai 1984
Durée : 118 mn

Casting :
Harrison Ford : Indiana Jones
Kate Capshaw : Wilhelmina « Willie » Scott
Jonathan Ke Quan : Demi-Lune
Amrish Puri : Mola Ram
Roshan Seth : Chattar Lal
Philip Stone : Capitaine Blumburtt
Roy Chiao : Lao Che, parrain de la mafia de Shanghaï
David Yip : Wu Han
Ric Young : Kao Han, plus jeune fils de Lao Che
D.R. Nanayakkara : le chaman du village
Dharmadasa Kuruppu : le chef du village
Raj Singh : Zalim Singh, le Maharadjah de Pankot
Pat Roach : le chef des gardes de la mine
Chua Kah Joo : Chen
Philip Tann : le chef des acolytes
Akio Mitamura : le pilote chinois
Michael Yama : le co-pilote chinois
Arjun Pandher : le premier enfant dans la cage
Zia Gelani : le deuxième enfant dans la cage
George Lucas : un missionnaire
Frank Marshall : un touriste à l'aéroport
Steven Spielberg : un touriste à l’aéroport
 
Mon avis : 
Après Les Aventuriers de l’Arche Perdue, premier volet de la mythique saga des Indiana Jones, intéressons nous à présent à un certain Indiana Jones et le Temple Maudit, film qui, depuis sa sortie en 1984, divise fortement les amateurs de l’aventurier archéologue. Il faut dire que, ayant longtemps eu à souffrir de la comparaison avec les premiers et troisièmes volets de la saga, ces derniers ayant de nombreux points communs comme certains personnages, les lieux de l’intrigue et les adversaires, des nazis, Indiana Jones et le Temple Maudit fut, pendant des années, considéré par beaucoup comme étant le parent pauvre de la saga. Un jugement plutôt injuste, même si, il faut le reconnaitre, pas totalement illogique tant ce second volet se démarque du reste de la saga par son coté grand spectacle poussé à l’extrême. Car en effet, ici, c’est à un véritable déluge de scènes d’actions, de situations coquasses et de morceaux de bravoure auquel on a droit, et ce, de la première a la dernière minute du film. Ce parti pris, assumé par le duo Lucas/Spielberg, en aura choquer plus d’un mais malgré le fait que, par moments, on a l’impression de foncer a cent a l’heure dans une montagne russe, force est de constater que, ce qui apparait comme un défaut pour certains peut être, pour les autres, un gage de réussite et, surtout, la certitude de passer un bon moment. Car oui, Indiana Jones et le Temple Maudit est le volet de la saga qui est le plus accessible au grand public : sans prises de têtes métaphasiques, avec ses méchants grand guignols par moments et ce coté exagéré du début a la fin, ce film, indéniablement, se savoure avec un plaisir non dissimulé et même s’il est clair que oui, mille fois oui, le premier et le troisième sont les meilleurs, celui-ci, dans un autre genre, mérite largement le détour. Alors certes, il y a le cas Demi-Lune qui m’agace au plus haut point depuis une trentaine d’années, mais bon, il y a pire dans la vie, non !?
 

Points Positifs
 :
- Sans nul doute le volet le plus accessible de la saga et, indéniablement, celui qui vous tiendra en haleine, du début à la fin, et sans le moindre temps mort ! Il y a de tout dans cet Indiana Jones et le Temple Maudit : de l’aventure, de l’humour, de l’action, des scènes cultes, bref, de quoi passer un très bon moment !
- Certes, le scénario est un peu simpliste et l’on tombe par moments dans le grand guignol, cependant, et de manière plutôt curieuse, il passe très bien, et ce, par le biais d’un rythme qui ne ralentit jamais et qui vous en mettra plein les yeux.
- Je crois que c’est le film où Indiana Jones est le plus en forme… et le plus drôle.
- Le personnage de Willie aurait put être agaçante a force de hurler tout le temps, or, il n’en est rien et cela apporte une touche coquasse a l’histoire.
- La scène du début, avec un Harrisson Ford qui nous la joue James Bond, celle de la poursuite en chariot de mines, celle du pont suspendu… c’est fou ce que ce film regorge de scènes cultes !
- Indy qui tape Demi-Lune. Ça fait un bien fou !

Points Négatifs :
- Un coté un poil trop excessif par moments, on est trop dans le grand spectacle et, du coup, Indiana Jones et le Temple Maudit apparait comme étant un peu a part vis-à-vis du premier et du troisième volet, surtout que ces derniers possèdent beaucoup de points communs.
- Demi-Lune : désolé mais même après plus de trente ans et moult visionnages, je ne peux toujours pas !
- Une version française plutôt médiocre…

Ma note : 8,5/10

Les Aventuriers de l’Arche Perdue


Les Aventuriers de l’Arche Perdue
 
1936. Parti à la recherche d'une idole sacrée en pleine jungle péruvienne, l'aventurier Indiana Jones échappe de justesse à une embuscade tendue par son plus coriace adversaire : le Français René Belloq. Revenu à la vie civile à son poste de professeur universitaire d'archéologie, il est mandaté par les services secrets et par son ami Marcus Brody, conservateur du National Museum de Washington, pour mettre la main sur le Médaillon de Râ, en possession de son ancienne amante Marion Ravenwood, désormais tenancière d'un bar au Tibet. Cet artefact égyptien serait en effet un premier pas sur le chemin de l'Arche d'Alliance, celle-là même où Moïse conserva les Dix Commandements. Une pièce historique aux pouvoirs inimaginables dont Hitler cherche à s'emparer...
 

Les Aventuriers de l’Arche Perdue
Réalisation : Steven Spielberg
Scénario : Lawrence Kasdan, George Lucas et Philip Kaufman
Musique : John Williams
Production : Lucasfilm Ltd.
Genre : Aventure, Fantastique
Titre en vo : Raiders of the Lost Ark
Pays d'origine : États-Unis
Langue d'origine : anglais, espagnol, allemand, hébreu et arabe
Date de sortie : 12 juin 1981
Durée : 115 mn

Casting :
Harrison Ford : Indiana Jones
Karen Allen : Marion Ravenwood
Paul Freeman : le docteur René Émile Belloq
Ronald Lacey : le commandant Arnold Ernst Toht
John Rhys-Davies : Sallah Faisel el-Kahir
Denholm Elliott : le docteur Marcus Brody
Alfred Molina : Satipo
Wolf Kahler : le colonel Herman Dietrich
Anthony Higgins : le major Gobler
Vic Tablian : Barranca, l'homme au singe
Don Fellows : le colonel Musgrove
William Hootkins : le major Eaton
Fred Sorenson : Jock Lindsey
Pat Roach : le sherpa géant / le mécanicien allemand
Tutte Lemkow : l'imam
Ishaq Bux : Omar
Frank Marshall : le pilote de l'avion nazi
George Harris : Simon Katanga, le capitaine du cargo
Eddie Tagoe : le second lieutenant du cargo
Dennis Muren : l'espion nazi dans l'avion
 
Mon avis : 
Combien de fois au court de ma vie ai-je donc vu Les Aventuriers de l’Arche Perdue ? Quinze, vingt fois, peut-être même plus encore ? En toute sincérité, je ne sais même plus, ayant arrêté de compter depuis longtemps. Et si je dois être tout à fait objectif, ce constat est valable pour l’ensemble des autres films de la saga en dehors du quatrième volet que je n'ai vu qu'une fois, lors de sa sortie au cinéma et que je n'ai jamais eu envie de revoir. Bref, vous l'avez compris, que ce soit Indiana Jones et le Temple Maudit ou Indiana Jones et la dernière Croisade, ceux-là aussi ont été vu, revus un nombre incalculables de fois. Bref, ces trois films font tout bonnement parti, depuis plus de quatre décennies, des œuvres cinématographiques que j’ai le plus vu au cours de mon existence… Ceci étant dit, je pense ne pas me tromper en affirmant qu’a mes yeux, Indiana Jones est l’un des personnages de fiction les plus important qu’il m’ait été donné de connaître. D’ailleurs, suis-je le seul dans ce cas ? bien évidement que non : de part le monde, et pour toute une génération, l’archéologue aventurier, interprété superbement par l’inimitable Harrison Ford, aura marqué son époque, aura éveillé bien des vocations, aura donné envie a beaucoup d’en savoir plus sur tous ces lieux traversés dans les différents films, les légendes véhiculés dans ceux-ci, etc. D’ailleurs, ce fut mon cas : plus que l’école, ce fut Indiana Jones qui me permit de connaître – mais il ne fut pas le seul – bien des choses sur l’Egypte ancienne, le Graal… Et puis, Indiana Jones – du moins, Harrison Ford – quelle classe tout de même ! Qui n’a jamais voulu lui ressembler, qui n’a jamais rêver de parcourir le monde comme lui, de partir a la recherche de vieux trésors perdus, d’explorer de vieux temples en ruine, d’échapper aux pièges les plus pervers ? Bien sur, tout cela, on l’a fait, bien plus tard, grâce a Tomb Raider (Lara Croft doit tout à Indiana Jones), quand à la réalité, disons qu’elle fut moins sexy : à la place de devenir Indiana Jones, je suis devenu fonctionnaire. C’est clair que dit comme cela, c’est bien moins excitant, n’est ce pas ? Mais quelque part, au fond de moi, l’envie de partir à l’aventure est toujours présente et puis, il y a encore tant de choses à découvrir ; tenez, l’Atlantide ! Et si c’était moi qui… bon, je crois que je m’égare légèrement sur ce coup… Mais au fait, critiquer Les Aventuriers de l’Arche Perdue ? Personnellement, cela m’est impossible, je ne pourrais pas être entièrement objectif à son sujet, surtout que tout a déjà été dit tellement de fois sur ce film que cela n’apporterait pas grand-chose. C’est pour cela que j’ai préférer m’attarder plutôt sur mon ressenti, sur ce qu’Indiana Jones représente pour moi. Bien évidement, il y aurait bien un petit défaut à ce film, tellement évidant quand on s’y connaît un peu en histoire que je ne peux m’empêcher de le signaler : mais que faisaient donc des troupes allemandes, en 1936, en Egypte, comme si de rien n’étais, alors que le pays était sous protectorat britannique ? Comme si ces derniers laisseraient les nazis vaquer a leurs occupations de la sorte ?! Ce petit aparté étant dit, que dire de plus ? Entre un personnage principal devenu culte depuis longtemps, une intrigue rudement menée a cent a l’heures, sans temps morts et captivante au possible, un humour omniprésent, des moments d’action inoubliables, des répliques qui n’en sont pas moins et puis, bien entendu, une bande originale signée John Williams reconnaissable entre toutes, carrément légendaire (et je pèse mes mots), ce premier volet des aventures d’Indiana Jones est depuis longtemps rentré dans le patrimoine mondial de l’humanité (ca y est, je m’emballe encore) et ne se démode pas, malgré le temps qui passe. Et si en plus, je vous dis que Les Aventuriers de l’Arche Perdue est mon volet préféré de la saga, je pense que vous devinerez a quel point j’adore tout simplement ce film !
 

Points Positifs
 :
- Le premier volet de ce qui est, incontestablement, une des plus grandes franchises du cinéma populaire de la fin du vingtième siècle : Indiana Jones ! Personnage mythique, notre brave archéologue aventurier entra, immédiatement, dans la légende avec ce film qui, pour la petite histoire, est tout simplement le meilleur de la saga ! Un chef d’œuvre incontestable !
- Parfait de bout en bout, tout bonnement. Il faut dire que dans Les Aventuriers de l’Arche Perdue, on ne s’ennui pas une seule seconde et que, même après moult visionnages, le plaisir est toujours au rendez vous. La marque des très grands, indéniablement…
- Le personnage d’Indy, bien entendu : beau gosse devant l’éternel, intelligent, doté d’une chance incroyable et d’un charisme fou, celui-ci est devenu une des figures les plus connues de la culture populaire de ces quarante dernières années. Et puis, comment dire, c’est Harrison Ford mes amis, alors, que demandez de plus !?
- La bande originale de John Williams, tout aussi culte que le film est dont le thème principal est l’un des plus célèbres de l’histoire du septième art.

Points Négatifs :
- Mais que faisaient donc des troupes nazies en Égypte, en 1936, alors que ce pays était sous protectorat britannique !? Certes, on pourra dire que je chipote un peu sur ce coup, cependant, je pars du principe que dans une œuvre de fiction sensée se déroulée dans le monde réel, ce genre de détails nuit pas mal a la crédibilité de l’ensemble.
- Bien entendu, il faut apprécier le genre, aimé se divertir et reconnaitre que le cinéma, c’est aussi ce genre d’œuvres axées grand public. Si ce n’est pas le cas, que dire si ce n’est que vous pouvez passer votre chemin ?

Ma note : 9/10