A Plague Tale – Innocence
A Plague Tale – Innocence
Éditeur : Focus Home Interactive
Mon avis : Pour la petite histoire, cela faisait longtemps que je souhaitais me procurer A Plague Tale – Innocence, jeu vidéo d’une société française et qui est paru, pour la petite histoire, en mai 2019 sur la PS4. Attiré par le postulat du soft, l’époque où se déroulait l’intrigue de celui-ci – c’est-à-dire, la Guerre de Cent ans – et par les nombreuses critiques pour le moins élogieuses que j’avais put lire à son sujet, je m’étais alors dit que ce jeu me conviendrait parfaitement, du moins, ne serais-ce que pour passer le temps entre deux titres plus conséquents. Comme vous l’avez compris, il m’aura fallut pas mal de temps pour, finalement, me décider à me le procurer et, plus de deux années s’étant écoulées, mon choix s’est porter sur la version PS5 – après tout, quitte à devoir patienter entre deux gros jeux, autant avoir une version plus aboutie de A Plague Tale – Innocence… Mais alors, est-ce que le résultat aura été à la hauteur de mes espérances, est-ce que oui, A Plague Tale est-il un bon jeu ? Eh bien, après quelques heures passés dessus – oui, la durée de vie n’est pas folichonne – on peut dire que mon avis est pour le moins mitiger… Bon, le début m’avait plutôt laissé pour le moins enthousiaste : les décors étaient pour le moins réussis, les effets de lumière fort agréables à la vue et, ma foi, disons que c’était plutôt sympa de se plonger en plein Moyen-âge, surtout que, ici, les concepteurs de la chose nous en proposaient une vision pour le moins crédible. L’héroïne, sans être exceptionnelle, tenait la route et, ma foi, si j’ai rapidement pesté sur la prise en main de cette dernière, les premières heures ne m’ont pas vraiment déçues et ont confirmé ce que je pensais de ce soft : c’est-à-dire, un jeu sympa, sans prétention et qui me ferait passer un bon moment. Le souci c’est que, au bout d’un moment, j’ai commencer à me lasser de l’aventure en elle-même, pestant de plus en plus envers les mécaniques du jeu peu perfectibles, une jouabilité d’un autre âge et peu intuitive et, surtout, comme j’ai eu le plus grand mal à accrocher à la plupart des protagonistes – principalement le petit frère que j’avais envie de claquer au début puis de tuer au bout d’un moment – aller au bout de soft ne fut pas une partie de plaisir et vous pouvez être sur que j’étais franchement heureux de l’achever – après un affrontement final oh combien pénible – mais surtout, afin de pouvoir passer à autre chose… C’est plutôt dommage car, au final, A Plague Tale – Innocence n’est pas un mauvais jeu : il possède quelques qualités, graphiquement, il tient plutôt la route et je dois reconnaitre que, par moments, ce fut un plaisir que de me balader dans ce Moyen-âge plutôt bien reconstitué. De plus, tout ce qui tourne autour des meutes de rats s’avère être une bonne idée et je ne peux m’empêcher de me dire que l’on n’est pas passé loin, ici, d’un très bon jeu. Dommage que des mécaniques perfectibles de celui-ci et qui m’on fait penser, par moments, que je me trouvais face a un soft de la première Playstation, ainsi que le peu de charisme des différents protagonistes nuisent un peu à l’ensemble… Mais bon, je ne peux pas tomber sur des super-héros à chaque fois…
Points Positifs :
- Les meutes de rats sont l’une des bonnes trouvailles de ce jeu et les différentes manières dont on doit les évités ou comment on peut les manipuler est, plutôt pas mal.
- Comme je le disais, la reconstitution du Moyen-âge est une des grandes forces de ce soft et, par moments, on a presque l’impression d’y être.
- Amicia est une héroïne plus ou moins correcte mais c’est du coté des méchants que l’on trouve les protagonistes les plus charismatiques : le seigneur Nicholas et le Grand Inquisiteur, Vitalis Bénévent.
- Graphiquement, il n’y a rien à redire, A Plague Tale – Innocence est un beau jeu. Il faut dire que je possède la version PS5, ce qui est un plus, bien entendu.
- Un manque flagrant de charisme du coté des compagnons de notre héroïne, le pire étant, et de très loin, son frère, une grosse tête à claque que l’on a envie de jeter aux rats assez rapidement tellement il est insupportable.
- Il y a trois combats de boss dans ce soft : le premier est correct, le second, une véritable purge en raison d’une jouabilité pour le moins perfectible, quand au troisième, l’affrontement final contre Vitalis, disons qu’il est chiant au possible… non pas en raison de sa difficulté puisque l’on comprend rapidement ce qu’il faut faire mais surtout en raison de cette fameuse jouabilité qui, décidément, nous en veut énormément !
- On meurt, souvent en raison de cette fameuse jouabilité ou parce que l’héroïne est aussi souple qu’une enclume et l’on est obligé de se coltiner des tonnes de dialogues inutiles, encore et encore…
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